1. Cocufiage "Psychothérapie de choc"


    Datte: 30/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... noir qui porte des dreadlocks. Samuel un baraqué avec une kippa, et le dernier, Chang, un baraqué bridé avec une crête bleue et verte ; il fait un peu cacatoès. Ils font tous de grands gestes à la caméra. Ils me semblent tous trois plus jeunes qu’elle : le plus vieux doit avoir vingt-cinq ans. Je me dis avec espoir qu’ils ont peut-être tout dans les muscles et rien dans le caleçon. — Voilà, tu les connais tous maintenant. Tu vas certainement songer au divorce après avoir vu ce que tu vas voir, mais souviens-toi : je ne te trompe pas, je te soigne. Il faut que j’arrête de parler, j’ai une psychothérapie sur le feu. Installe-toi et amuse-toi bien.Elle embrasse ses doigts et souffle dessus vers l’objectif ; elle m’envoie un baiser. Elle positionne bien la caméra qu’elle commande de sa tablette, zoome, dé-zoome, semble satisfaite et se dirige vers le lit en tortillant des fesses. — Alors, en forme les petits ? — Oui Coralie ! — Montrez-moi.Ils sont déjà à poil, verge dressée. Ils ont des engins à la mesure de leurs biscotos. C’est râpé pour les gros biceps/petites bites ; ils ne présentent pas des trucs monstrueux, mais il y a tout de même du lourd. Moi qui faisais le fier avec mon engin, j’ai de la concurrence.En deux temps trois mouvements ils lui ôtent son top, baissent short et string. Elle embrasse à pleine bouche ses trois complices. En contrepartie, ils lui caressent les fesses, ses petits nénés et perdent leurs doigts dans sa petite chatte châtain.Je m’attendais à ...
    ... trouver des pithécanthropes, des bourrins ; je les trouve délicats. Ils caressent, frôlent, titillent. Ils pressent les tétons, les font se dresser. Merde, les salauds, ils la font glousser et gémir !Je ne fais pas toujours glousser mes conquêtes.Elle s’agenouille, le visage au niveau des trois tiges, fait un clin d’œil à la caméra et embouche avec volupté un des braquemarts. Elle en tète le gland, puis le gobe en entier. On dirait qu’elle joue du biniou ! — Elle est bonne ! Elle remue la langue autour du grand chauve comme une déesse. — Elle te masse les pendentifs comme personne. — Regarde ses lèvres : elles s’arrondissent autour de la béquille à mémère comme un cache-col.Nul besoin à ces énergumènes de lui tirer les cheveux, de lui « baiser la bouche » comme dans certains pornos ; elle met tant de cœur à l’ouvrage qu’elle avale en entier ces candélabres, en branlant deux tandis qu’elle gobe le troisième. Elle passe d’un sucre d’orge à un autre, ne faisant pas de jaloux. Elle saute ainsi du Jaune au Noir, du Noir au circoncis. Son spray fait effet : elle absorbe les trucs en entier ; je m’attends presque à ce que ça lui ressorte par le troufignon. Toute cette scène accompagnée de grands « slurp », ça va me faire passer l’envie de déguster un cornet et deux boules pendant un certain temps. — Ça, c’est de la suceuse ! — Elle pourrait presque m’arracher les poils du cul tellement elle aspire. — Je ne vais pas résister longtemps ; je vais envoyer la chantilly.Tels sont les ...
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