1. Sylvia, femme d'action (1)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Hétéro

    ... c’est pour te piéger, pour avoir une rançon et ainsi pouvoir payer de la nourriture à ceux qui se font racketter par le gouvernement. Rien de plus. Si vous partez et que vous vous faites reprendre, vous devenez un danger. Et on aura tout perdu. — Alors c’est tout ce qu’on est ? Du fric sur pieds ? — T’as tout compris. Maintenant, libre à toi de négocier un meilleur séjour parmi nous. — C’est à dire ? — Tu as dû remarquer que votre cellule est loin du grand luxe. — C’est peu de le dire. — Et la nourriture est plus que sommaire. — Ce n’est pas un cinq étoiles, c’est clair. C’est là qu’il se leva pour s’approcher d’elle. — Libre à toi de nous rendre service pour améliorer ta condition, à toi et à ton camarade. Aide dans la vie du camp, à la cuisine, à la chasse dans la jungle. Et si tu veux obtenir d’autres avantages plus... personnels, tu peux négocier directement avec moi, lui dit-il en lui caressant la joue. — Je pense que vous allez devoir vous finir à la main ! — Très bien. Pas de souci : j’aurai tenté ma chance. Sache que si jamais tu changes d’avis, pour n’importe quoi d’ailleurs… — Aucune chance. Mais du coup, pour mon reportage, je n’ai pas de réponse. — Je veux bien essayer, mais je veux un droit de regard total sur tout ce que vous allez filmer. — Ça peut se faire. — OK, on fait comme ça alors ; mais pas d’entourloupe ! Elle semblait avoir trouvé un accord satisfaisant pour les deux parties en présence, tant mieux. Elle était pressée de raconter ça à Thierry, mais il ...
    ... semblait absent de la cellule. Alors que son geôlier la poussait violemment à l’intérieur, elle demanda où était son compagnon. Le gardien lui répondit « Qu’est-ce que j’en sais, moi… » C’est après une attente qui lui a semblé interminable que Thierry rentra. Il avait le corps meurtri de coups et le visage tuméfié et boursouflé. — Oh, mon Dieu, Thierry ! Mais qu’est-ce que… Espèce de brutes, que lui avez-vous fait ? — On a commencé son dressage. Toi, on n’a pas le droit de te toucher car tu es l’otage. Par contre, lui ne représente rien. Alors, avec mes copains, on a décidé d’en faire notre pute. On va se vider les couilles dans tous ses orifices. Et après, quand il aura fini de servir… on verra. Le sort qui attendait Thierry lui glaça le sang. Le groupe de tortionnaires s’en alla en ricanant, laissant leur victime inerte sur le sol. Après plusieurs minutes, Thierry reprit conscience. Sylvia était en train de nettoyer ses écorchures avec un morceau de son tee-shirt trempé dans de l’eau. — Laisse-moi. C’est de ta faute si j’en suis là. — Mais permets-moi au moins de… — Ne m’approche pas ! À cause toi je risque de finir en jouet sexuel pour ces types. J’ai entendu ce qu’ils ont prévu pour moi : dès demain soir, ils veulent « m’inaugurer », ce qui veut dire que grâce à ton égoïsme, je vais me faire enculer par plus d’une douzaine de types à la chaîne. Merci beaucoup ! — Mais je… — La ferme ! Je ne veux plus t’entendre. Laisse-moi dormir. Sylvia venait de se rendre compte de ce ...
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