1. Décembre : le piège se resserre...


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... n’avez pas envie. Vous en mourrez d’envie même. Je ne pouvais qu’en convenir. Je m’agenouillai devant elle, entre ses cuisses et entrepris de lécher son sexe à travers le tissu de son string dans un premier temps, puis en l’écartant pour avoir un accès direct à sa fente par la suite. Que c’était bon ! Quel fruit divin, parfumé et tellement juteux ! Je ne pouvais m’empêcher de penser aux nombreuses fois où j’avais fait plaisir à madame dans ce même fauteuil, dans cette même position. Malgré cela, je bandais dur et commençais à déplacer ma main vers ma braguette pour me soulager un peu. C’est alors qu’une vive douleur me traversa. Françoise m’avait donné un violent coup de la pointe de son talon dans le flanc. De quoi calmer quelque peu mes ardeurs. _ Je ne vous ai pas autorisé à vous caresser. Occupez-vous de ma chatte et faites-moi jouir. Elle ne vous plait pas, ma chatte ? _ Si ! bien sûr ! _ Alors appliquez-vous sur votre travail. Je repris ma « besogne ». Françoise semblait de plus en plus excitée, prête à jouir, tandis que je recommençais à bander dur, terriblement frustré de ne pouvoir me branler en même temps. Au bout de quelques minutes, un flot abondant inonda ma bouche alors qu’elle jouissait bruyamment, prise de convulsions. Autant par plaisir que pour limiter les taches, je m’appliquais à tout avaler, collant ma bouche contre sa fente et continuant à la laper, à titiller son clitoris, à la fouiller de la langue. Visiblement satisfaite, Françoise se leva et me ...
    ... demanda où se trouvait ma chambre. Je le lui indiquai et elle me dit d’aller l’y attendre, allongé et nu sur le lit. J’obtempérais, un peu anxieux. Françoise arriva dans la chambre avec son manteau, en sorti des préservatifs et entreprit de suite de m’en enfiler un, sans même prendre la peine de me caresser, de m’embrasser ou de me lécher ma queue bien raide. Elle se mit alors à quatre pattes sur le lit après avoir retiré son string. _ Prenez-moi en levrette. Et ne vous avisez pas de jouir avant que je ne vous le dise ! Comment résister à une telle proposition ? Enfin… Un tel ordre. Je me mis derrière elle, caressais et écartais ses fesses, dévoilant sa fente et son petit trou et je présentais mon gland devant son sexe, appuyant lentement pour la pénétrer en douceur. Et avec une grande facilité. La salope était tellement humide que je rentrai dedans sans la moindre difficulté. Je me mis alors à la besogner avec soin et application, gérant mon rythme pour ne pas trop m’exciter et ne pas jouir avant elle. Visiblement, je ne devais pas trop mal me débrouiller puisqu’elle semblait y prendre du plaisir, m’encourageant régulièrement de phrases salaces. « Défonce-moi la chatte ! Pilonne-moi de ta queue, continue ! Tu aimes me baiser comme ça mon salaud, hein ? » Elle se cambrait de plus en plus, m’offrant une vue magnifique et des sensations inégalées. _ Oh ! Oui…. Je vais jouuuiiiiir ! Mais pas toi ! Retiens-toi ! Elle jouit et je parvins à me retenir au prix d’un effort insensé. Elle ...