1. Décembre : le piège se resserre...


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... se retira alors, me fit mettre sur le dos et me chevaucha, un peu comme la dernière fois. Tandis que je caressais ses seins si lourds, elle prit ma queue, la frotta contre sa chatte trempée et, à ma plus grande surprise, la frotta contre son anus avant de l’y insérer doucement. Ma femme me refusant systématiquement ce genre de plaisir, dire que j’étais excité est un euphémisme. Elle s’empala entièrement sur mon chibre et s’immobilisa. J’étais pour ma part à deux doigts de jouir tellement elle était serrée de ce côté. _ J’ai envie de jouir du cul, mais pour cela, j’ai besoin que vous teniez bon encore quelques temps. Vous pouvez tenir ? _ Je vais essayer… Elle ne semblait pas satisfaite de la réponse. _ Je vais vous y aider. Elle me prit alors les tétons et les pinça sans ménagement. La douleur était atroce et, comme pour son coup de talon, l’effet fut immédiat : mon excitation baissait d’un cran. _ Voilà qui est mieux, non ? Elle avait maintenant l’air parfaitement satisfait alors que je devais encore faire la grimace. Elle commença un lent va-et-vient qui devint de plus en plus rapide au fil du temps. J’étais de nouveau très excité, sur le point de craquer à plusieurs reprises mais je ne voulais pas prendre le risque de jouir sans son accord. Je ne sais pas trop ce que je redoutais, mais je savais qu’il valait certainement mieux éviter. J’ai donc dû encore me retenir avec beaucoup d’efforts tandis que je la sentais ...
    ... jouir, son cul serré se contractant autour de ma queue. Elle se retira, le frottement que cela produisit me tétanisa de plaisir. Elle retira le préservatif. _ Vous pouvez jouir maintenant. Un geyser de foutre sorti de mon gland, accompagné d’une jouissance comme je n’en avais jamais connue. Elle ne m’avait pas touché, même pas frôlé… Mais la simple autorisation de jouir après m’être retenu si longtemps avait suffi à me libérer et à provoquer cet orgasme… Après quelques temps, alors que je ne m’étais toujours pas remis, Françoise jouait avec son téléphone. _ Donnez-moi votre numéro. Vous êtes plutôt un bon coup finalement, je pourrais avoir de nouveau envie de vous prochainement. _ Non, pas mon numéro. Vous n’y pensez pas ! Si ma femme tombe sur un sms, un message ou un appel, je suis cuis moi ! _ Vous pourrez toujours trouver une excuse. Alors que si je vais la trouver en lui disant que vous m’avez enculé dans votre lit, vous n’en aurez pas. _ Mais vous êtes… _ Une salope ? Oui. Votre numéro maintenant. De toute manière, je vous tiens par les couilles. Au sens propre comme au figuré. J’obtempérai. François composa mon numéro pour s’assurer que tout allait bien, se rhabilla et se dirigea vers la sortie. _ Je vous laisse. Vous avez du ménage à faire dans le salon et vous devriez au moins laver la housse de couette avant le retour de votre femme. Et vérifiez vos appels, je n’aime pas qu’on me fasse attendre. J’étais donc piégé. 
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