1. Nadine, la vengeance d'une maman (19)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... chambre et m’effondre sur mon lit, anéanti… Maman ne s’attendait pas à me trouver dans la cuisine. Son visage se ferme quand elle me voit. Elle essaye de se donner une contenance mais n’y parvient pas. Elle est blême. Je lui rentre dedans sans prendre de gants. nohnwwgi — Putain, Maman, tu me dégoutes… Malgré l’heure matinale elle est déjà sur son trente-et-un, comme si elle s’apprêtait à s’éclipser. En a-t-elle l’intention, et pourquoi ? Elle a enfilé une petite robe d’été juvénile, noire et constellée de motifs colorés, qui lui arrive à mi-cuisses. Les fines bretelles lui laissent les épaules nues. Elle porte un soutien-gorge - ce qui n’est pas commun ces derniers temps - mais ses gros seins, comprimés dans l’échancrure, débordent du décolleté. Elle est plus ravissante que jamais. — Oh non, mon chéri… S’il te plait, ne le prends pas comme ça ! — Alors dis-moi pourquoi tu laisses ce clown dormir avec toi, après tout ce qu’il t’a fait ? — Voyons Maxime, c’est mon mari quand même… Essaye un peu de me comprendre ! — Il t’a bien baisée au moins, cet enculé ? — Mais enfin, qu’est-ce qui te prend ? C’est de ton père dont tu parles ! Elle voudrait me faire croire qu’elle est redevenue ma maman d’avant, mais le cœur n’y est pas. Elle ne sait plus faire semblant. Je vois bien qu’elle est sur le point de craquer, de fondre en larmes. — Je ne veux plus qu’il te touche, Maman, je ne le supporte pas… Je veux qu’il parte… Je veux rester avec toi… rien ...
    ... que tous les deux… — Oh mon bébé, mon petit amour, mon gâté… Je te promets qu’il ne m’a rien fait ! Je m’en sors bien mieux que je ne l’avais imaginé. Je savais qu’il fallait que je joue cette carte, mais j’en ai la confirmation. Son désarroi est sincère. Elle est d’une franchise désarmante. Je me jette sur elle et la prends dans mes bras, l’enlace, la serre contre moi. — Je t’aime Maman ! Je t’aimerai toujours… J’en rajoute un peu, mais je suis tellement dans mon rôle que j’en ai les larmes aux yeux, presque malgré moi. — Je sais, mon poussin… je suis désolée… mais il m’a demandé pardon ! Je ne sais plus quoi faire… Elle m’embrasse dans le cou, m’étreint, et l’odeur des petits cheveux collés sur sa nuque envahit mes narines de son délicieux parfum. Une douce torpeur m’envahit. Je passe mes mains sous sa robe, lui palpe le ventre, les cuisses, lui empoigne la chatte à travers sa culotte comme un affamé. — Voyons Maxime, calme toi, tu es fou ou quoi ? Ton père ! — Il prend sa douche, Maman, détend toi… Tu n’entends pas l’eau qui coule ? Sa respiration s’accélère, elle se colle à moi, se dresse sur la pointe des pieds pour frotter son pubis au mien. Je glisse mes mains dans sa culotte. Je parcours avec volupté la chair tiède et élastique de ses fesses charnues. Qu’est ce que j’aime la toucher ! Je pourrais lui caresser le cul toute la journée sans jamais m’en lasser. Quand je pense que mon père est juste à coté, et qu’il ne se doute de rien… 
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