Hélène (3)
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
Hétéro
... permanence. Je suis pressée de rentrer. Pierre, qui doit le sentir, règle les achats sans bavarder avec les caissières. Nous rentrons à toute vitesse, en ralentissant juste ce qu’il faut sur les dos d’âne. A la maison, Pierre et moi nous déshabillons en courant à la chambre, ma robe vole dans l’escalier, j’arrache les vêtements de mon chéri. Il me libère les seins et me place à quatre pattes sur le lit, il m’appuie sur le dos, entre les omoplates, pour que ma joue touche l’oreiller, et que je lui offre mon cul dans toute sa splendeur. Une ou deux gouttes de gel entre la rosace et mon œillet et il commence à retirer mon bijou. Celui-ci dilate mon petit trou au passage de la partie renflée. Il le renfonce et le retire pour de bon. Mon anus reste ouvert, puis commence à se refermer. Je prends sa verge et la guide vers mon iris. Ses mains sont libres, et il en profite pour me saisir les seins et les pétrir. Je pousse ma croupe en arrière, et il me pénètre. Je me sodomise moi-même. Mon œillet s’ouvre progressivement, se moulant autour du gland, puis c’est la tige qui coulisse dans mon rectum. Enfin je sens ses boules contre mon sexe, sa toison frotte contre ma raie. Voilà c’est fait, je suis enfin enculée, Et je n’ai même pas mal. Je me sens remplie. Pierre amorce un mouvement. D’une pression de la main sur sa cuisse, je l’arrête. Je veux profiter de cet instant. Pierre m’a prise en douceur, je me suis donnée à lui sans douleur. Je suis bien. Apres quelques minutes, je lui donne ...
... le signal, d’un léger coup de cul en arrière. Il me prend en cadence, ces deux mains me pétrissent les seins ; puis il se saisit de mes mamelons. Il les tire, je m’avance, il les pince, je me recule. Je m’encule moi-même en répondant à la cadence imposée. Mes seins m’envoient comme des décharges électriques. Mon anus émet des vagues de plaisir. Tout ceci se mêle en moi, et un premier spasme me secoue, et je m’écroule à plat ventre. Pierre est toujours en moi, il dégage ses mains et me pistonne d’avant en arrière. C’est trop bon, je mords l’oreiller pour ne pas crier. Sa cadence s’accélère, mon œillet, sollicité de plus en plus énergiquement, se transforme en organe à jouir, j’halète, je geins, je gémis, je miaule. Le deuxième spasme explose en moi et m’achève. Pierre se crispe et propulse sa semence qui percute mes membranes internes. Il s’écroule. Je chavire. Je me pelotonne contre lui comme une chatte heureuse. Je me retourne et me met sur le côté. En lui prenant la main, je l’entraine dans mon mouvement. Je lui pose sa main sur mon sein gauche, un petit gigotage et je suis emboitée contre lui. Il a son visage enfoui dans ma chevelure, je sens sur ma nuque le souffle de sa respiration. Dort-il ? Ou comme moi profite-t-il de ce moment ? Nous passons une bonne partie de l’après-midi enlacés, jusqu’à ce qu’une petite faim nous ramène à des considérations plus prosaïques. Nous passons la fin de la journée en amoureux : Jardinage et pelotage. Ce n’est que le soir, dans le lit, ...