1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (18)


    Datte: 01/08/2020, Catégories: Trash,

    ... — Eh bien, parle, enfin ! Tu sais que tu dois tout me dire ! — Demain, je vais revenir chez moi, puis reprendre mon travail comme avant. Et vous m’aurez vite oubliée, avec votre esclave, 32, et... Pardonnez-moi, Monsieur. — Je te pardonne, petite pute. Mais si tu veux devenir mon esclave, il te faudra me le demander... — Monsieur, je... — Silence ! Tu viens de m’interrompre, c’est bien le signe que tu n’es pas prête à te soumettre : tu n’es même pas capable de me laisser m’exprimer. — Je vous demande pardon, Monsieur. Je croyais... — Demain, tu vas rentrer chez toi. Tu prendras le temps de réfléchir à ce que je vais te dire. Mais d’abord, cravache. Quinze coups. Tu te places comme tout à l’heure quand tu m’attendais, jambes écartées et mains sur la nuque. Sans attendre, Sandrine obéit et s’immobilisa en position. Lenoir tourna autour d’elle, rectifiant la posture à petits coups de cravache. Jambes plus écartées, reins cambrés, menton relevé, coudes en arrière. — Tu es prête ? — Oui Monsieur... Elle reconnut à peine sa voix, rauque et un peu chevrotante. La cravache siffla et frappa au niveau du nombril ; Sandrine frémit, réprimant un cri pour exprimer seulement un grognement sourd. Mais elle bougea à peine, ce dont se félicita Lenoir, attentif à ses réactions. Il avait retenu son coup, mais une longue marque carminée zébrait à présent la douce peau du ventre. Il leva le bras, attendant que Sandrine visualise son geste avant de porter un nouveau coup, un peu plus fort cette ...
    ... fois. Une nouvelle fois il fut satisfait de sa réaction : tout son corps trembla, ses coudes se resserrèrent brièvement avant qu’elle reprenne parfaitement sa position. Sandrine respirait par saccades, les ailes du nez frémissant et témoignant de ses efforts pour maîtriser sa souffrance. Lenoir frappa à nouveau, comptant mentalement jusqu’à dix, puis il recula d’un pas et observa la jolie blonde. Sa verge lui faisait mal tellement elle était gonflée et dure, il dut se retenir de se caresser, certain d’éjaculer en quelques instants. Or il voulait d’abord sodomiser Sandrine, la faire jouir encore une fois sous ses assauts. Elle s’était redressée, mais les muscles de ses jambes tressautaient, sa peau fine s’était couvert de sueur et elle n’essayait plus de retenir ses larmes. — Tu te rappelles de ton mot de sécurité ? C’est ananas. Tu peux le dire, je ne t’en tiendrai pas rigueur. — Dans vos rêves, Monsieur... Pas question ! répliqua-t-elle à voix basse, les mâchoires crispées. — Je passe sur ta manière de répondre. Bien, encore cinq coups, je vais frapper plus haut, tu es bien marquée sur le ventre. Sur ta poitrine donc. Sandrine frémit mais s’abstint de répondre, elle tenta au contraire de se relâcher dans l’attente des coups. Cinq seulement, elle s’en savait capable. Elle se savait capable d’endurer bien plus en fait, rien que pour cet homme. Prenant sa respiration, elle gonfla ses poumons et s’offrit bravement. Une minute trente plus tard, elle sanglotait mais ressentait une ...