1. Anne soumise est offerte par son mari au promoteur, ses ouvriers, elle s'offre (4)


    Datte: 08/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    LE CONTRAT ET SES CONSEQUENCES première partie Georges, le promoteur nous convoque Alain et moi, le Vendredi soir, pour le lendemain matin. Sans délai. Toute la nuit j’y pense …je sais ce qu’il va dire, je me conditionne aux conséquences du contrat. Vers 11h, on arrive à son bureau, le samedi, personne. Comme je devine vite ce qui va se passer, j’ai mis une robe très décolletée, ouverte devant, courte, rien du tout en dessous, des bas qui tiennent seuls. La robe s’arrête juste à la limite des bas, en dessous des fesses c’est dire...si elle est courte. Un manteau léger ¾ pour cacher le tout, dehors. Visage très fermé, dur, grosse colère. Par contre s’il me regarde il a un reflet sadique gourmand dans l’œil, ça se voit. !! « Prenez place » « Salut Alain, ça va ? Tu te doutes pourquoi vous êtes là ? » « Je vous ai foutu la paix, plusieurs mois mais ON EST qu’à 50% bordel !!! » « DONC c’est simple, VIRÉS !! OU application de la clause, en la TRIPLANT !! Je ne supporte pas cette situation !! » « Alain je te demande même pas de répondre !! Anne ? Tu décides quoi ?» Je ne réfléchis pas. « On applique le contrat Georges, ce que vous voulez, je suis à vous, tout de suite » « Bien ma salope, perds pas de temps, mets-toi à poil, viens me sucer… !» Je fais sauter ma robe d’un geste vif. Nue en talons et bas je me pose à genoux devant lui, ouvre son pantalon, glisse la fermeture éclair, fais jaillir sa queue, l’enfourne avidement, je sais qu’il souhaite ça tout de suite  !! Je liche et ...
    ... suçote, je pompe, aspire, comme d’habitude, je veux l’attendrir. « Ma petite perverse, tu ne vas pas t’en tirer comme ça, avale tout, allez !! Jusqu’aux couilles, bouffe ma bite, c’est agréable ton retour, tu vas bien me siffler, je t’ai réservé un bon millésime, une grosse gorgée. Bordel paire de fesses !! Courbe-toi ! » JE FAIS. D’un coup, fixant fort mon visage à deux mains, il se répand, coule, décharge, éclate, il lâche tout son sperme au fond de ma gorge, longs jaillissements, l’un après l’autre, 5 ou 6. « Déguste ma cuvée, salope, la première du week end. Dis-moi que tu aimes... !!! » « OUI, Georges, OUI, votre queue est bonne, votre jus, tant que vous voudrez… Je vous boirai toute la semaine » Il jubile, il me retrouve…Je dois être comme ça, si je peux l’apaiser. TOUT CELA SOUS L’ŒIL DE MON MARI. IL ACQUIESCE !! Pas mécontent ! « Promène-toi à poil, ma chérie, je me remets tout ça bien dans l’œil, avant de t’offrir !» (Oh là là, ça augure !!). JE FAIS. Je « patrouille » la pièce en bonne soldate. Je pirouette autour de lui, offre mes seins, mon cul, il promène ses mains sur moi, farfouille, je fuis, m’échappe, je me redonne… !! Je joue, pour sa détente ... Il aime. « BON, va t’asseoir sur le canapé, les cuisses grandes ouvertes, écarte bien ta chatte, montre-la-moi. Reste comme ça, sans bouger. Surtout Écoute bien !! » JE FAIS. « Alain, je te tiens au courant, juste pour la forme » « Je la prends 3 fin de semaine d’affilée, du Samedi midi au Dimanche soir, elle va être ...
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