Anne soumise est offerte par son mari au promoteur, ses ouvriers, elle s'offre (4)
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... la récompense, la prime, de mon groupe d’ouvriers blacks et le chef de chantier. Après, la même chose, pour les arabes, turcs, autres polonais » « Je n’ai pas de fric à leur donner, je veux quelle se livre A FOND !! » «Après, j’ai une transaction délicate, l’achat du terrain de paysans au fond de la Seine et Marne. Le père, les 2 fils, 61 et 62, plus l’avocat homme de confiance qui gère l’opération, il doit friser les 70, comme moi. » « Pour accepter mon offre, je me suis engagé à leur « prêter» Anne. C’est une vraie clause de rupture, l’avis de l’avocat est vital donc : « PAS DE CHOIX, JE L’AI DECIDE» « Ca va lui plaire, elle qui aime les anciens, en plus ils sont vraiment rudes, pas gâtés question finesse et civilité, plus habitués aux culs des vaches et truies qu’aux femmes. Tu me suis ? » « Il s’agit de 2 millions d’euros, il me faut la plus grande virtuose salope suceuse, buveuse de jute ! Pour moi C’est TA femme ! » « Écoute, Georges je n’ai pas d’issue, tu as sans doute raison elle sera excellente, comme toujours ! Elle aime ça, si pour toi c’est la solution : j’adhère !» QUOI dire, pour Alain, le vicieux promoteur est fortifié, Il nous garde notre contrat. C’est A MOI DE FAIRE MAINTENANT !!!! « Bon Alain, OK, on boit un verre et tu pars. Elle sera ramenée demain soir… ! » « Viens ma poule, pendant que je bois avec ton mari, suçote mes couilles, doucement. Je te dirai quand tu pourras finir de déguster…» JE FAIS…. Mon mari est parti. J’ai évidemment tout bu encore, ...
... léché. Et, Georges me pose nue allongée sur le dos, sur son bureau, face à lui. Il est assis normalement sur son fauteuil, donc je tourne le dos à la porte. J’ai la tête renversée, je ne le vois pas, mes cuisses grandes ouvertes, ma chatte transpirante, large, dégouline... « Reste comme ça, je veux voir ta moule de près, jeune cochonne, bouge pas. J’amène ta surprise… ». QUELLE SURPRISE !! J’entends la porte, des pas…. Dans cette position, entièrement PROPOSÉE, sans que je voie bien, défile devant moi une douzaine de noirs, tous âges, toutes tailles. Ils s’arrêtent chacun, pour évaluer mon sexe, me toucher les seins, le ventre, les cuisses, me palpent, pétrissent ou pincent. L’un deux fait le tour du bureau lèche ma minette, grand coup de sa langue épaisse !!! JE FREMIS ! Je COMPRENDS ce qui m’attend. J’entends des rires de liesse, de jubilation, d’espoir, des grognements rauques … « VOILA ma salope de petite bourge, ta punition, ton devoir, tu vas bouffer des queues bien noires, en prendre plein ton petit fion, des deux côtés, boire de la bonne liqueur de café » « DE TA PART JE NE VEUX AUCUNE RESISTANCE, AUCUN REFUS » « Ah oui. J’ai même demandé au chef, de veiller, que tu leur lèche le cul, comme pour moi, la dernière fois. Il assurera la propreté. N’est-ce pas Anne ??? » « Dis le moi !! bordel, Dis» Très sévère le ton. Sans appel. « OUI, Je vais les déshabiller, les sucer, les boire, les pendre dans ma chatte, dans mon cul, (si ça rentre…), leur nettoyer les fesses avec ma ...