1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1181)


    Datte: 02/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1180) - Nous finîmes par nous endormir blottis l’un contre l’autre, heureux d’être chacun ce que nous étions… Quelques jours plus tard, il ne restait plus qu’une semaine avant le mariage. J’avais repris ma place normale au sein de la vie du Château. Malgré le bonheur que je ressentais à l’idée d’unir ma vie à Celui qui représentait mon idéal dans tous les domaines, je ressentais tout de même une pointe de tristesse à l’idée que ma famille ne pourrait pas assister à notre mariage. Je ne pouvais décemment pas leur demander de traverser la France pour ne les inviter qu’à la cérémonie vanille à la mairie, et ne pas les inviter à venir au Château. Je ne pouvais pas m’empêcher de laisser transparaître mes pensées. Et le Maître, de Ses yeux perçants et toujours en tant qu’observateur avisé, s’aperçut rapidement de mon état. Et un soir, alors que je m’apprêtais à regagner mon Cachot après avoir fini mes corvées du soir, Walter vint me chercher sans rien me dire d’autre que d’exiger que je le suive. Il tendit la main, alors je me mis à genoux, après avoir saisi ma laisse dans la gueule pour la lui déposer sur ladite main. Puis je repris la position quadrupède, prête à aller où il le voulait. Je souris en reconnaissant le couloir qui menait à la chambre du Châtelain. Le Majordome, sans rien dire, ouvrit la porte, ayant certainement reçu l’ordre de ne pas frapper, et donc nous devions être attendus. Puis, il tira sur la laisse pour ...
    ... me faire passer devant lui, et referma la porte. Comme toujours, quand je n’avais reçu aucun ordre précis, je me dirigeais vers le centre de la pièce et me prosternais, les bras bien tendus en avant, et le cul bien relevé, offrant comme toujours à la vue, mes orifices bien exposés. Monsieur le Marquis n’était pas dans la pièce, mais très vite, j’entendis une voix. - Ma chienne, vient me rejoindre sur le balcon. Je m’approchais de la baie vitrée. En fait de balcon, c’était carrément une mini terrasse, donnant sur les jardins, ce qui avait permis au Maître de surveiller le déroulement de la soirée en l’honneur de son oncle Louis, la semaine passée. Je repris ma position, mais cette fois-ci tout près de Lui, les mains à quelques millimètres de Ses pieds. - Ma chérie, relève-toi, et prends place près de moi. Y étant invitée, je me relevais et m’installais dans le second fauteuil, de l’autre côté d’une petite table qui nous séparait. Cela faisait vraiment bizarre de me retrouver à Ses côtés assise dans un confortable fauteuil au lieu habituellement en position prosternée à Ses pieds... Mais très vite mon regard se perdit, pensive que j’étais, dans le paysage au loin où la magnifique forêt du Château offrait une belle palette de verdure. Et très vite, comme souvent quand je me laissais aller à mes songes, mes yeux se remplirent de larmes... - Mon Amour, ne crois pas que je ne me suis pas aperçu que ces derniers temps tu n’allais pas bien. Parle-moi, tu sais que tu peux tout me dire, ...
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