1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1181)


    Datte: 02/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... besoin de passer par Paris et l’aéroport Charles de Gaulles pour aller en Bretagne. Quelques minutes après le décollage, ces Messieurs voulurent être distraits, et il fallut que nous nous caressions mutuellement, nous léchant comme deux bonnes chiennes. Nous avions l’interdiction de jouir, mais nous avions pour ordre de nous mener chacune au bord de l’extase. Nous avions déjà eu, dans notre dressage au Château, à exécuter cet exercice. Nos gestes étaient précis. Si, de base, nous n’avions pas de penchant homosexuel, nous avions appris à donner du plaisir à une femme, pour pouvoir satisfaire autant un Dominant qu’une Domina. Et nous savions que l’œil perçant du Noble aurait de suite décelé si nous feintions nos caresses et notre plaisir. Nous y allions donc franchement, finissant même par un 69 sulfureux ! En effet nos langues cherchaient les endroits les plus érogènes de nos sexes, s’attardant longuement sur nos clitoris respectifs, fouillant entre nos lèvres infimes… léchant abondamment celles-ci avant de s’infiltrer dans nos vagins … Nous sentions des plaisirs excitants commencer à nous faire perdre pied … Nous étions en nage de devoir nous retenir, et comme à chaque fois, ma nature profonde animale prit le dessus et je commençais à couiner comme une ...
    ... véritable chienne. Ce fut à ce moment-là que le Maître claqua des doigts. Son sexe bien dressé, sorti de Ses vêtements à l’instar des deux autres hommes, pour l’exhiber fièrement devant nous. Je dus sucer le Commandant des pompiers, ma sœur de soumission s’occupa de la verge du Maître, et quand ils se furent vider tous les deux au fond de nos gorges, nous administrâmes le même traitement à Oncle Louis. Qui lui nous fit mettre en position prosternée, culs tournés vers lui, et il se vida sur nos fesses, nous ordonnant de ne plus bouger jusqu’à la fin du vol, qui était à présent presque terminé. Cependant, son sperme eut tout de même tout le loisir de sécher sur notre peau. Quand l’avion se posa, nous eûmes le droit de remettre nos vêtements. Ordre qui n’était pas dû au hasard, car le Maître, qui me tenait serrée contre Lui en descendant, s’était arrangé pour que ma maman et mes sœurs, ainsi que leurs compagnons, mes neveux et surtout mes filles soient présents sur la piste. S’Il ne m’avait pas tenue si fermement, je crois bien que je me serais écroulée, car mes jambes étaient devenues du coton, sous l’émotion. Quand Il me pensa assez d’aplomb, Il me murmura dans un doux et amoureux chuchotement, un très discret : - Va, Mon Amour de chienne !... (A suivre …) 
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