1. Lazarius et l'antiquaire (3)


    Datte: 08/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Cette fois, j’allais m’en aller, la laissant là à son trouble, satisfait de mon effet. Mais cette fois, elle ne me laissa pas le temps de me retourner, elle balbutia : « Ça serait possible… je veux dire… j’aimerais bien… je voudrais… essayer… l’effet que ça fait… Enfin, pas trop fort ! » Là j’étais sidéré. J’avais bien pris la mesure de son trouble, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle ose me faire une telle demande. Mais je n’allais pas perdre une aussi belle occasion : « - Bien entendu. Autant satisfaire votre curiosité jusqu’au bout. Mais… maintenant ? — Oui, vite fait… Attendez, » elle semblait se reprendre un peu, « je vais aller fermer la boutique quelques minutes… de toute façon il n’y a pas beaucoup de visiteurs. » Et elle fit ce qu’elle avait énoncé, elle alla fermer à clé la porte vitrée, tourna la pancarte pour que l’indication « FERME » se retrouve vers l’extérieur, puis revint vers moi : « - Venez avec moi » me dit-elle en m’entraînant dans son arrière-boutique. « - Comment je mets ? » demanda-t-elle, avec une voix un peu changée par l’émotion. « - Eh bien, si vous vous mettiez face à cette petite table ça serait parfait. » Elle se tourna donc, appuya ses mains sur le plat de la table, tendit un peu sa croupe en arrière, dans une position d’attente. Celle-ci était bien moulée dans son jean, et d’un volume assez impressionnant. Mais j’attendis. Elle ne bougeait pas. « - Madame, la strappe ne s’administre que sur un fessier nu. Il vous faut baisser votre ...
    ... jean et votre culotte – si vous en avez une. — Quoi ? Mais… je ne peux pas… Je veux dire j’ai honte… Je suis pudique… — La honte fait partie de la punition. Je veux dire : en tout cas, du jeu, du cérémonial – comme le déculottage, du reste. Il est hors de question que j’administre la strappe par-dessus un pantalon. C’est contraire à mes principes, j’oserais dire : à mes convictions. — Oh mais… ça doit faire encore plus mal ! — C’est un peu le but, ma chère Madame… Mais comme je vous l’ai dit : tout dépend comment on dose… — Euh… euh… » elle ne bougeait pas, craintive, hésitante. « - C’est vous qui voyez, ma chère dame. C’est vous qui m’avez demandé de l’essayer sur vous. Je suis un maître en la matière, je sais comment la chose s’administre. Si vous rejetez ces règles c’est votre droit, mais vous ne connaîtrez pas ce que vous aviez la curiosité de découvrir. » J’attendis encore deux ou trois secondes – je ne m’en étais pas donné plus et je m’apprêtais à la laisser tomber, mais je l’entendis prononcer « bon… » et je la vis dégrafer sa ceinture, déboutonner son jean et soudain baisser lentement et le jean et une culotte rose pâle en dentelle dont je devinai le lisérai du bord supérieur : et je vis jaillir des grosses fesses très blanches, très fortes et un peu celluliteuses. Elle baissa le tout jusqu’au bas des cuisses, des cuisses charnues également, et bien roses. « - C’est bien. Vous avez pris la bonne décision. Je sentais que vous étiez d’une nature curieuse, avec une soif ...
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