Lazarius et l'antiquaire (3)
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... maintenant. J’eus un peu pitié d’elle, d’autant qu’elle se montrait bien obéissante, qu’elle ne bougeait pas ses mains comme je le lui avais ordonné, c’est ma main gauche qui se posa délicatement sur sa fesse douce et moelleuse et tenta de l’apaiser légèrement en l’effleurant à peine, la caressant comme du papier de soie. Je lui dis doucement : " - Est-ce que je peux continuer ou vous préférez déclarer forfait ? Je comprendrais, même s’il n’en reste que trois, même si vous vous êtes engagée à aller jusqu’au bout... Je ne suis pas un bourreau. — Non... Je veux bien continuer mais... un peu plus doucement sans quoi je ne tiendrai pas c’est sûr. — C’est vous qui voyez, je veux bien vous faire grâce des derniers, même pour trois. — Non, je veux terminer. C’est moi qui l’ai voulu, je vous l’ai demandé, je ne vais pas me dégonfler si près de la fin. J’aurais peur de regretter d’avoir abrégé cette expérience que je n’aurai peut-être jamais la chance de renouveler. — OK. Je vais doser. Je ne veux pas vous dégoûter. Une si bonne élève, ça serait dommage. Surtout avec un aussi beau cul." La flatterie marche presque toujours avec les femmes. Elle eut comme un rire de gorge, cherchant à masquer une fierté mal placée (quand je dis "mal placé, je veux dire : placée juste en-dessous de ses reins...) " - Allez, ma belle, remettez-vous en position." De bonne grâce elle obéit et se pencha de nouveau, cambra gracieusement son beau cul. Cherchant à diminuer ma force, j’assénai le suivant tout ...
... au bas de sa croupe, la lanière claquant sur sa fesse gauche. Elle cria, mais moins fort. J’étais sur la bonne voie. Je changeai de côté, afin de terminer l’ouvrage, me positionnant cette fois bien à côté d’elle afin de réussir à bien barrer les deux fesses d’une marque bien horizontale. " - Prête pour les deux derniers ?" lui demandai-je. " - Je suis prête, Monsieur." Je mesurai mentalement la trajectoire que la lanière plate allait suivre jusqu’à son impact sur son imposant fessier, et je le levai le bras avec précision. La strappe claqua après une course sèche. La dame serra les dents : " - HUMMMP ! — Allez, la dernière. Vous êtes une femme courageuse, et très digne. Je vais vous administrer cet ultime coup de strappe de façon un peu plus forte. Ça sera votre dernier, vous n’aurez plus à souffrir ensuite. Savourez-la bien..." lui dis-je d’un air entendu et un peu cynique, en appuyant bien sur ces derniers mots. Je vis son échine se tendre, elle se cambra délicieusement, offrant son gros derrière déjà bien zébré de rouge au châtiment. Je trouvai cette intention, cette offrande, terriblement érotique, infiniment excitante. J’appréciais le geste. Et je me disais que la dame devait avoir un penchant masochiste non négligeable. Je la fis mariner un peu, je me plaçai, rectifiai plusieurs fois ma posture, mesurant en fermant un œil la bonne distance, la bonne trajectoire. Sur ce bon gros fessier, le dernier impact, je ne devais pas le louper. Je pris un bon élan et la strappe ...