1. le coach de l'équipe de natation (9)


    Datte: 04/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... comprime les parois comme si elle épousait chaque millimètre carré de mon intimité, avant de venir buter au fond de mon intimité. Mon plaisir monte, monte, comme jamais jusqu’à présent. Mon vagin dégouline, je suis si mouillée que ça coule entre mes cuisses. A chaque poussée de mon corps, les mouvements de son sexe font des bruits incongrus en comprimant l’air piégé au fond de mon vagin mais je m’en fous je suis trop bien ! Il est increvable, j’ai le temps de jouir plusieurs fois continuant toujours mon va-et-vient. Je l’implore : -Occupe-toi un peu de mes seins, ils sont très sensibles et réclament leur dû. Du fait de sa position, Patrick n’a qu’à ouvrir la bouche pour aspirer un mamelon s’empressant de l’introduire entre ses lèvres. Il entreprend de téter le sein qui lui emplit la bouche, aspirant le téton raidi tout en pressant le mamelon de ses lèvres. Il entoure mon torse de son bras, écrasant ainsi le sein à la chair satinée contre son visage. Cependant malgré la douce euphorie qu’il éprouve à téter cette mamelle gonflée, il sent le manchon brûlant de mon sexe lui enserrer la verge. Le plaisir momentanément apaisé regrimpe. Son chibre ressort en partie dans un mouvement ample et soutenu, et revient de la même manière. Cette sensation qui n’en finit plus de monter se relâche brutalement, je suis en train de jouir à nouveau. Toujours en m’embrassant il est venu se coller contre moi. Il passe un bras derrière ma nuque, l’autre sous mes fesses, interrompant son va et ...
    ... vient. Il se redresse soudain d’un grand coup de reins se mettant debout et je me retrouve suspendue, retenue par ses bras puissants, m’empalant jusqu’aux couilles sur cet engin fabuleux. J’entoure son corps de mes jambes le serrant davantage contre moi, et l’incitant à aller encore plus loin en moi. Nous copulons ainsi une dizaine de minutes. Il continue à me faire l’amour debout. La position est acrobatique et il me cale contre la porte pour continuer à me faire aller et venir sur son pénis bandé. J’hurle, étonnée des ressources de Patrick. Il me besogne fougueusement et finit par s’appuyer d’une main contre le mur. Il n’en finit pas de me pilonner, ses coups sont rudes, ça dure, je fatigue, mes jambes faiblissent, il est trop long à décharger. Je sens enfin sa bite grossir, se raidir. Je contracte mon vagin. Brusquement, ses mouvements deviennent plus amples et plus puissants. Sa matraque me malmène la chatte. Il se crispe. Je le sens venir en moi. Son sexe m’envahit de ses spasmes annonciateurs de la jouissance proche. Mon ventre s’ouvre, s’offre encore plus à son plaisir. J’ai envie qu’il soit bien dans mon ventre. Bloqué au fond de mon sexe, il envoie une purée phénoménale en plusieurs jets longs et puissants. Il vient de se vider les couilles en longs flots de sperme en moi, râlant sous mes yeux. Il me perfore, me fend en deux… Son sexe va sortir de l’autre côté de moi… Quelques derniers coups de reins et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il reste au plus ...