1. le coach de l'équipe de natation (9)


    Datte: 04/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... touché. Tout en suçant le gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe. Contre mon poignet viennent buter deux petits citrons. Ses couilles velues sont dures. Ma main les fait rouler l’une contre l’autre. Jamais je n’aurais cru que cette action puisse autant plaire à un homme. Son gland grossit encore. C’est une baudruche ce truc-là ! Il ne va pas pouvoir se retenir. Il va m’éjaculer dans la bouche. — Couche-toi sur le divan, m’ordonne-t-il. Il prend mes jambes et les redressent en appui sur ses épaules. Dans cette position je lui offre une voie royale sur ma chatte luisante de cyprine. Je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il approche son gourdin et pousse. Je me sens comblée, remplie et pourtant d’après ce que je touche, seulement un tiers de son membre est entré… Mes mains quittent son sexe pour ses fesses. Je les saisis à pleine main. ¬ -Tu as mal ? ¬ - Non, continue, tu me fais du bien. ¬ Mes mains sont sur son cul pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que mes chairs ne se rebellent. Comment ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses. Son gland boute mes chairs les plus intimes explorant des zones vierges. J’ouvre les yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre Il me chuchote à l’oreille : ¬ - Ton sexe est très doux et très serré, c’est très bon ! — Viens ! Il est entré de plus de la ...
    ... moitié. Son bassin pèse encore sur mes cuisses. Il avance encore. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré totalement. Son gland vient buter conte le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne n’a atteint. Chaque avancée me provoque une sensation inconnue, électrisante. — Ne t’arrête pas ! C’est bon, c’est trop bon ! Mes jambes se détendent violemment. Ma jouissance, mon plaisir explosent dans ma tête, dans mon ventre. Après ses deux jouissances, il a la queue encore plus fainéante et il me besogne presque une demi-heure avant d’atteindre son troisième orgasme de la journée. Percevant l’accélération soudaine des va-et-vient à l’intérieur de ma chatte, ainsi que le souffle de plus en plus saccadé de Patrick, je comprends qu’il ne va pas tarder à atteindre l’orgasme final. Convulsé par l’approche imminente de la jouissance et sentant l’orgasme le saisir soudainement, il se cambre frénétiquement, comme si un courant électrique l’avait traversé. Appuyé des deux mains sur mes épaules, il m’embroche d’un ultime coup de reins, avant de s’immobiliser. Comme un geyser puissant et incontrôlable, son sperme jaillit en saccades répétitives, aspergeant copieusement mon vagin dans lequel sa queue est fichée. Percevant dans mes entrailles ses puissantes giclées de semence, je ressens un orgasme d’une rare violence. La jouissance me fait me cabrer sur le divan et un long cri inhumain s’échappe de ...