1. 23 janvier 2048


    Datte: 27/06/2017, Catégories: fh, hplusag, douche, Oral pénétratio,

    ... cercles de pouvoir qui comptent. Il serait descendant de Gaston Phébus, comte de Foix. Aucun journaliste ne l’a rencontré : il ne parle aux médias que par communiqués de presse. On sait qu’il dirige des groupes de presse dans le monde ; même son âge est un mystère. Se pourrait-il qu’il y ait un lien avec le rendez-vous ? Je n’arrive plus à travailler ; toutes ces informations brouillent ma concentration. Je déconnecte mon terminal. Deux heures à poireauter… Je me sers un whisky pour me calmer les nerfs. 20 h tapantes, je suis devant ce qui ressemble à un bar à hôtesses. Une personne m’ouvre. Après un sas à porte battante, je pénètre dans une vaste pièce rectangulaire. Légèrement sur la droite, une jeune femme de type moyen-oriental vêtue d’un tailleur strict m’accueille. Elle n’a pas le look hôtesse ; son visage fermé accentué par sa chevelure noire tirée en arrière en une natte m’observe derrière des lunettes connectées. Je jette un coup d’œil furtif sur mon répéteur bracelet ; plus aucune information, écran noir : la pièce est protégée. Je me rends compte que deux autres personnes se trouvent en axe croisé, idéal pour une protection ou une intervention. — Bonsoir, Monsieur Renard. Pouvez-vous me remettre votre terminal ainsi que le stylet situé dans votre manche droite ? De mieux en mieux : même si c’est demandé sur un ton policé, elle ne me donne pas beaucoup d’autres possibilités que d’obtempérer. Ils possèdent un détecteur nanométrique, sinon jamais ils n’auraient pu ...
    ... détecter mon poignard fabriqué en matériaux composites. Or, c’est une technologie militaire très récente et normalement inaccessible. Je sors de ma poche intérieure le terminal portable et le pose sur le comptoir, puis d’un geste brusque, ma lame apparaît dans ma main. Le résultat est au niveau de mes espérances : les deux « clients » réagissent au quart de tour, ils ont porté la main sous leur veste. Des professionnels efficaces. Mon hôtesse n’a même pas cillé. Je retourne le poignard et lui offre le manche. — C’est une belle arme, équilibrée, aussi bonne pour le corps-à-corps que le jet. Elle la pose à côté du terminal. Pendant l’examen, pour la première fois je vois une émotion sur son visage difficile à décrypter. — Connaisseuse ? Elle ne rétorque pas. — Si vous voulez bien me suivre… Nous passons par une porte latérale dans une autre salle plus intime baignée dans une lumière douce. Je reconnais la femme se levant pour me recevoir. Grande, élancée, vêtue d’une robe en shantung noir dessinant harmonieusement sa silhouette, elle avance vers moi et me tend la main. — Bonsoir, Monsieur Renard.— Mademoiselle Judard. Elle sourit : — Je n’en attendais pas moins de vous ! Asseyons-nous, s’il vous plaît. La jeune femme qui m’avait précédé se place juste derrière les deux couveuses. — Je crois que vous connaissez ma collaboratrice, Selma.— Oui, j’ai eu cet honneur en effet ; mais pourrions-nous rentrer dans le vif du sujet ?— Si je vous ai demandé de venir de façon – je dirais « un ...
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