1. Mamie Geneviève (11)


    Datte: 04/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Mamie Geneviève 11 J’arrive chez la maman de Bastien. Cette dernière m’accueille en me tendant la main et je préfère forcer la bise. Avec Bastien, nous faisons une bise très chaste. Sabine, comme elle se présente, est une femme blonde, d’à peu près ma taille, toute fine et sa poitrine, bien que raisonnable est saillante sur son ventre plat. Même si elle est naturellement jolie, elle ne semble pas faire d’effort pour plaire. Ses sourcils ne sont pas épilés, mais ça ne choque pas. Ses boucles d’oreille semblent surannées et je n’en voudrais pas, malgré que je sois plus âgée qu’elle. Elle porte une jupe noire et un chemisier à manche longue, vert pâle, très opaque, qui lui monte jusqu’au cou. Elle porte des collants et des souliers aux talons usés. Ils ne doivent pas rouler sur l’or dans cette famille ! Elle me dit : « Je suis enchantée de faire votre connaissance, Bastien ne parle que de vous ! » « Et à moi, que de vous ! » Ris-je, avant d’ajouter : « Enchantée également, j’ai emmené une bouteille de champagne pour célébrer notre rencontre ! » « Oh, vous savez, je bois très peu et n’ai que des coupes dépareillées. Ça ira ? » «Bastien, tu veux bien t’occuper du service ? » Le blondinet porte un jean moulant et un polo, je ne peux m’empêcher de regarder son cul quand il s’éloigne. Hummm, miam miam ! ! Je m’assieds près de Sabine sur le canapé et Bastien, en face, peut mater ma cuisse légèrement découverte. Il nous sert les verres avec délicatesse. Lors de la conversation avec ...
    ... ma voisine, je remarque à plusieurs reprises qu’elle me dévisage, comme si elle me connaissait. « Dites Geneviève, on ne s’est pas déjà rencontré auparavant ? » J’énumère les possibilités, travail, amis, mais il n’y a pas de concordance et nous passons à autre chose. Il n’empêche que nous avons de nombreux contacts, très féminins, naturels ou presque. Je note qu’elle laisse traîner sa main, en imprimant un léger appui sur ma peau, à chaque fois. C’est très affectueux comme contact mais un peu curieux quand même. Alors que le temps passe, et que nous sirotons ce délicieux breuvage, je lui résume que, j’héberge mon petit fils (et depuis peu, ma petite fille), que mon gendre est un tyran avec ses enfants et qu’en son absence mes petits enfants sont allés chez leur mère. Elle semble boire mes paroles en me fixant dans les yeux. Aurais-je un ticket avec elle ou un charme particulier ? Pour changer de sujet, j’affirme «Vous savez, Sabine, de tous les copains de David, c’est votre fils que je préfère ! » Le rouge de la honte monte alors au front de Bastien. La maman se gonfle de fierté, puis demande : «Pourquoi dites vous cela ? » «Bastien est d’une gentillesse rare, il est prévenant, galant, c’est un homme parfait ! » L’intéressé va exploser de gêne si j’en dis plus. Il se lève, prétextant de devoir mettre la table et nous laisse seules, hors de portée de nos voix basses. J’ajoute, discrètement : « En plus, il est beau comme un cœur ! Si j’avais vingt ans de moins … » « C’est vrai ...
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