1. Mamie Geneviève (11)


    Datte: 04/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tourbillon de ses hésitations, craintes, mais aussi, envies de s’abandonner. Comme elle ne répond pas, je pose sa main sur mon sein. Elle ne fait rien, ni retrait brusque, ni serrer ses doigts sur mon galbe. « Vas-y Sabine, fais-toi plaisir ! Nous sommes seules ! » « Mais … Je n’ai pas l’habitude, c’est la première fois que … » « Pourtant, à table, tout à l’heure ! » « Je suis désolée Geneviève, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis totalement confuse ! » « Il ne faut pas ma chérie, moi j’ai adoré ce moment. J’avais trop envie de te serrer contre moi! Sentir ton corps contre le mien, unir nos lèvres, te donner mille preuves de tendresse ! » J’use de familiarités en lui disant ‘ma chérie’, mais elle ne relève pas mes propos. Par contre, elle bascule sa tête en arrière et ferme les yeux en soupirant. Son attente n’est pas longue, je m’agenouille sur l’assise pour lui embrasser le cou, tout en flattant son sein, qui durcit sous mes doigts. Elle-même me prodigue le même massage et je me sens mouiller atrocement sous sa caresse. Nos bouches s’unissent enfin et son baiser et plus que bouillant. J’adore ! Quand j’entreprends d’ouvrir son chemisier, elle me propose d’aller dans sa chambre. Sur place nous reprenons un baiser, tout en nous déshabillant mutuellement. Elle a un très joli corps, naturellement et finement musclé sur lequel je fais glisser ma main pour profiter de la douceur de sa peau. Je l’allonge sur son lit et lui souffle à l’oreille : « Laisse toi aller, je vais ...
    ... t’aimer » Dès lors, j’applique tout mon savoir et imagination à la satisfaire. Je souhaite procurer un plaisir unilatéral, le sien ! Moi, j’ai eu ma dose il y a peu avec ma famille. Pour se laisser faire, elle le fait bien, puis, se met même à participer plus ardemment ! Ma bouche la lèche, mes doigts s’activent en elle à tout va. Quand sa jouissance se déclenche, elle émet un puissant cri strident qui me surprend. Je la laisse redescendre, tout en continuant un lent va et vient. Elle tremble encore à chaque mouvement et dans un souffle me dit : « C’était génial ! Merci ! Je ne savais pas ce que c’était ! » Elle halète encore quand je l’embrasse. La porte s’ouvre sur Bastien, apeuré probablement par le cri d‘orgasme de sa mère, qui dit : « Maman ! Qu’est-ce qui se passe … ?» Quand Sabine réalise la situation, elle cherche à se couvrir le corps avec un oreiller et ne trouve à dire que : « Retourne dans ta chambre, s’il te plaît ! » Ce à quoi, je rétorque : « Non, Bastien, reste, approche-toi au contraire ! » Il s’approche. A chaque pas qu’il fait, son boxer se dilate un peu plus. Il doit vivre un rêve, sa mère, objet de sa convoitise et son initiatrice, en train de faire l’amour ensemble. Sabine cherche à retirer ma main de sa chatte, mais je reprends mon activité. Elle se tortille en geignant : « Non Geneviève, arrête ! Pas devant mon fils ! » « Pourquoi pas ? D’ailleurs, il semble apprécier ! Bastien, montres nous ce que tu caches. Oui ! Enlève ça, éteins la lumière et viens ...