1. Des vacances très chaudes


    Datte: 05/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Des vacances très chaudes. Je m'appelle Chloé, j'ai bientôt 23 ans et je vis encore chez mes parents je suis assez grande et blonde platine. Je ne sais pas ce que je veux faire dans la vie, ce que je sais c'est que j'ai envie de m'amuser avec mes amies ... Pourtant rien de ce que j'ai envie ne va arriver. Ma mère a décidé de m'envoyer chez ma tante pour passer l'été. Dans ma famille on obéit, c'est comme ça et pas autrement même à mon âge ... Arrivé à la date du départ je me prépare, le dimanche arrive, il fait beau mais pas très chaud, je décide de mettre une jupe longue et un gros pull à col roulé, j’enfile mon manteau et mes bottes, me voilà partie chez Diane, une fois mes valises bouclées j'attends que ma mère m'appelle pour le départ .... Ma mère me dépose à la gare pour prendre mon train. Je m'installe tranquillement avec mes écouteurs prêts à écouter de la musique quand soudain un jeune homme me demande s’il peut se mettre en face de moi ... On fait connaissance, il s’appelle Maxime, il voyage pour aller prendre un nouveau boulot, il me couve de son regard. Il me fait des confidences, ce travail est pour lui une dernière chance, il espère qu’il sera embauché pour sortir de pas mal d’emerdes. Le temps passe, la nuit est tombée, il n’y a pas pratiquement personne dans le wagon, je m’isole dans mon coin, me pelotonne contre la vitre pour un petit somme et baisse la lumière. Je vais vous conter maintenant l’expérience que j’ai vécue. Je me suis assoupie. Depuis quand cela ...
    ... dure-t-il ? Je ne sais pas… Je dormais donc, quand j’ai senti qu’on me touchait. Une main se baladait sur moi. Je me suis maudite de n’avoir pu réagir, de n’avoir pu bouger. J’aurais dû lui faire savoir qu’il n’avait pas le droit de me toucher. Je m’en suis voulu de ne pas lui en coller une. J’ai regretté ma paralysie et mon impuissance, (enfin au début). J’ai ouvert les yeux et l’ai vu dans la pénombre, Maxime avait sorti son sexe et se masturbait en me regardant dormir. Il astiquait son sexe à bon rythme, sans me quitter des yeux. Son autre main avait remonté ma robe, laissant voir mon string. Il a remarqué que je suis réveillée mais continue de caresser sa queue, je voudrais fixer mon attention au niveau de son visage, mais je ne peux m’empêcher de dévier plus bas, là où sa verge chantait discrètement sous ses caresses. Je percevais le bruit de sa main sur la hampe et la scène m’excitait de plus en plus. Il vient s’asseoir à coté de moi pour me peloter. Il glisse sa main sous mon pull et empaume un de mes seins. Sa main effleure ma peau avec délicatesse. Je suis paralysée. Ses mains insistent, tentant de voir s’il lui est possible d’aller encore plus loin. Je suis complètement impuissante. Je suis apeurée, je n’arrive ni à parler, ni à appeler à l’aide ou lui dire d’arrêter. Je reste là, inerte, à me dire qu’il faut que je réagisse, que je fasse quelque chose. Maxime vient de retirer sa main de mon pull, se saisit de la mienne qu’il vient poser sur son sexe au dessus de la ...
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