1. Des vacances très chaudes


    Datte: 05/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... laisse le plein contrôle. Son visage se crispe, son souffle est court. Son corps frissonne sous mes caresses rythmées de son sexe. Il éjacule dans de longues secousses avec un petit sourire de satisfaction. Mes doigts sont aspergés du sperme qui fuse et retombe, je veux retirer ma main mais il m’oblige à continuer, arrivant à éjaculer encore. Quand enfin il relâche ma main, je porte mes doigts poisseux de son sperme à ma bouche et me délecte de son nectar, le provoquant du regard. - Hummm, quelle bonne crème ! -Merci Chloé, excuse-moi, mais tu étais si belle, si désirable dans ton sommeil que je n’ai pas pu me retenir, je t’en demande pardon ! -Tu es tout pardonné, Maxime, je ne me serais jamais crû capable de faire ça en public ! -Viens t’asseoir sur mes cuisses Chloé, on ne va pas en rester là ? J’hésite un instant mais au point ou j’en suis…. Il prend sa queue à pleine main et se masturbe, lui faisant retrouver toute sa vigueur. Mes yeux la dévorent d’envie. -Aller… Viens sur moi ! Je me lève, il m’aide à me positionner face à lui, je colle mon corps contre le sien, la position n’est pas très confortable mais est idéale pour qu’il s’enfonce en moi d’une seule poussée. Je me retrouve empalée, sa formidable verge toute entière en moi mais il ne me laisse pas de répit. De grands coups de bassin me secouent, m’arrachent un cri qui heureusement passe inaperçue. Nous copulons en silence mais ne pouvons atténuer les bruits sourds de nos corps qui s’entrechoquent. Nos souffles ...
    ... courts battent à l’unisson. D’une main lourde, il me malaxe les seins, me remettant des fois dans l’axe pour mieux me pénétrer. Une plainte langoureuse s’échappe de mes lèvres l’invitant à persévérer -Oui ! Plus fort, encore… Plus profond ! Le plaisir s’est à nouveau saisit de mon corps et se propage comme une épidémie qui s’installe et se terminera par une nouvelle et formidable jouissance. Le choc de nos corps est de plus en plus fort, plus bruyant, cette future jouissance, je veux qu’elle soit commune. L’orgasme me foudroie, mon corps est bandé comme un arc, j’enfonce mes ongles dans ses épaules. Je sens sa verge dégorger en moi, se déversant dans mon vagin accueillant cette semence tant désirée. Je si épuisée que c’est avec peine que je me relève, expulsant de mon corps ce pénis qui m’a donné tant de plaisirs, dégorgeant son foutre sur ses cuisses. Je remets un peu de tenue à mes habits et m’endort comme une souche, exténuée dans mon coin, bercée par les secousses régulières du train. Un appel annonce que j’arrive bientôt à destination. Le jour se lève, il n’y a plus que moi dans le compartiment. Maxime est parti sans me réveiller. Ai-je rêvée ? Pourtant, je sens le parfum de l’homme sur moi, et ma chatte se souvient de l’intrus. Je ne sais pas s’il est déjà descendu du train ou s’il a été assez délicat pour s’éloigner pour ne pas me mettre dans l’embarras. Dans un sens, ce n’est pas plus mal, je ne sais pas ce que sera la suite de mes vacances mais au moins elles auront ...