La reine Margo - 7
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
Lesbienne
Mature,
Partouze / Groupe
... dans les yeux :-Quoi ? Besoin d’affection ma belle Marie avant la fête ? Maria manquait d’expérience peut-être ?Elle se contenta de sourire en enlevant mes mains de sa poitrine chaude et douce pour aller ramasser deux colliers de chien avec des laisses traînant sur un banc qu’elle attacha nos cous. Puis elle prit un gode en ceinture, un faux pénis peint en noir et laqué d’une forme parfaite recourbée vers le haut, lisse et luisante avec deux jolies couilles en dessous. Elle se pencha devant moi pour que j’enfile la ceinture en soulevant les pieds puis la remonta le long de mes jambes. Une lanière de cuir partait de mes hanches pour me passer dans la raie et se divisait en deux pour contourner ma vulve et rejoindre la ceinture que Marie serra bien a ma taille. J’avais déjà vu ça dans un bordel, mais c’était la première fois que j’en portais. Je ne pus m’empêcher de prendre le pénis en le regardant entre mes gros seins. C’était une sensation bien étrange d’avoir soudainement une queue, mais en même temps, c’était déjà des plus excitant.-C’est votre soirée Jeanne, dit-elle en prenant les laisses, mais, hélas, je vois contrainte de vous faire travailler toute les deux. Vraiment désolé, dit-elle en nous tirant vers les portes comme si on était ses esclaves et ça nous amusaient déjà.Jeanne me regarda les yeux tout petits en prenant le gode dans la main pour le branler en disant :-Oh ! Comme vous êtes bien monté chère sœur, j’espère que vous allez le garder pour dormir cette ...
... nuit. Comme ça, je pourrai vous chevaucher aussi longtemps qu’il me plaira sans risquer que cette chose n’explose trop vite.Je me contenter de sourire tandis que Marie ouvrait les doubles portes et je rester sans voix tout comme Jeanne en découvrant ce qui nous attendait derrière.J’imaginais voir la salle comme d’habitude remplie d’invités surexciter à l’idée de participer à une grande orgie, mais non. Je ne vis rien de moins qu’un nain en tenu d’apparat, collant rayer rouge et noir et veste verte finement décorer de fil d’or, dans la trentaine, bouc au menton, debout sur un banc devant une grande toile éclairer par des torches. Cette toile nous bouchait la vue complètement des murs jusqu’au haut plafond de la salle et sur celle-ci était écrit en lettres de feux peinte a la main ; (Le grand cirque des montres.) En dessous, des tas d’illustration très réaliste aux couleurs vivent de monstres humains à donner la chair de poule s’étalaient et tous ses monstres étaient nus ; une femmes a deux têtes avec un corps de déesse, un homme a trois jambes avec deux pénis en érection l’un au-dessus de l’autre, des siamoises relier par les hanches se caressant les seins, des nains bossus au sexe démesuré en train de s’enculer ou de baiser des naines, des colosses soulevant d’énormes poids de métal noir, mais ceux-ci étaient attaché a leurs couilles terriblement étirer. Celle-là me fit grimacer. Puis je vis un homme reptile plier en deux qui se suçait la bite terriblement longue, un homme-loup ...