1. La révélation


    Datte: 05/08/2020, Catégories: jeunes, campagne, Masturbation intermast, aventure, fantastiqu,

    ... flatteuses suivirent en cascade. Quand soudain le meneur leva la tête et se tut. Alors que Fyrag poursuivait ses efforts, Thyris vit le prêtre, les yeux exorbités, fixer les fesses dansantes du jeune homme. La jeune femme tira brutalement sur les bras du garçon, ce qui ne réussit qu’à rendre ses efforts plus vains encore. — Vite. Ils t’ont vu. Fyrag grommela quelque chose d’incompréhensible. Il s’agrippait à ce qu’il pouvait en lançant ses jambes pour tenter d’avancer. Thyris, à travers la fente, observait à nouveau. Le meneur, les yeux toujours fixés sur le postérieur du jeune homme, fit un geste à l’intention de ses camarades. Une expression de stupeur se peignit aussitôt sur leurs visages. Le chef commença, d’une voix rauque, à psalmodier une incantation, tout en débouclant sa ceinture. — Thyris, fit Fyrag d’une voix paniqué, ils sont en train de me jeter un sort ?— Non… je ne crois pas. La jeune femme était autant troublée par la réaction imprévisible de leurs poursuivants que par la vision des queues se tendant lentement sous l’action des mains de leurs propriétaires. À présent, tous récitaient les paroles chantantes de ce qui lui semblait une prière. — Aide-moi, grogna Fyrag qui avait réussit à modifier son équilibre. Thyris tira sur sa cuisse, le regard fixé sur ces virilités grandissantes. Fyrag, enfin dans la grange, se retourna et les observa, hébété. — Qu’est-ce qu’ils font ? Thyris, qui sentait l’excitation monter, répondit d’une voix atone : — Un rituel ...
    ... d’adoration, je crois.— Adoration de quoi ? Il se retourna vers Thyris, dont la main s’était dirigée vers le haut de sa fente luisante. — De tes fesses, je crois, gémit Thyris. Ils adorent ton cul.— N’importe quoi ! Thyris, emportée par des spasmes, les yeux toujours braqués sur les prêtres qui manipulaient maintenant leurs bourses, les yeux clos, fredonnant leur mélopée lancinante. Fyrag, voulant la faire réagir, empoigna un de ses seins au hasard et se mit à le malmener. Les gémissements de Thyris s’accentuèrent, comme répondant au chant guttural des hommes. Comprenant qu’il n’en tirerait rien comme ça, il posa sa main sur celle de Thyris pour l’arracher du sexe ruisselant. Par mégarde, ses doigts effleurèrent la vulve de la jeune femme, qui se cambra dans de grands cris aigus. Effrayé, Fyrag ne savait plus que faire. Cependant Thyris s’apaisait, et bientôt elle reprit ses esprits. — Vite, il faut partir avant qu’ils ne terminent. Les voix de plus en plus rauques rendirent son injonction plus pressante encore. — Content de te l’entendre dire, répondit Fyrag, ironique. Il la devança, et ils se retrouvèrent tous les deux avec du foin jusqu’à la taille. — Ne t’enfouis pas dedans si ce n’est pas nécessaire. Ils ne nous retrouveront pas, mais il est facile de se perdre dans une meule. Donne-moi la main, c’est plus prudent. Thyris lui tendit une main poisseuse. — On va se rapprocher de la porte de l’étable. Ils ne passeront pas par-là. Fais comme si tu nageais, ça ira mieux. Agitant bras ...