1. Valérie : l'insoupçonnée (4)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Hétéro

    Chose promise, je n’écris pas pendant deux semaines. Valérie m’écrit alors et je laisse passer deux jours avant de répondre. Autant jouer correctement. Nous cherchons une date mais il est vrai que j’ai des journées assez chargées à cette période-là. Au fil des échanges d’emails, je lui propose d’aller manger en soirée. Elle me dit que ça peut lui convenir car il arrive deux ou trois fois par mois qu’elle rentre entre minuit et une heure du matin. C’est ainsi que nous fixons un jeudi soir, peu après la mi-mai. Je passe la chercher à 19h15 à l’endroit désormais habituel de nos retrouvailles. Il a fait soleil et une chaleur estivale toute la journée, la soirée est très douce. J’attends quelques minutes puis elle arrive. Débardeur noir à col en V, jupe de tailleur grise avec une fine ceinture noire, sandales à talons noires, elle est sublime. Elle s’assied dans la voiture, la mine contrariée. On se fait la bise, tout près de la bouche. Je démarre. Elle ne dit rien. — Il y a quelque chose qui ne va pas, Val ? — Oui. Je me connais trop bien. Je voulais mettre une petite robe cache-cœur que j’ai achetée le week-end passé. J’en étais sûre que ça allait me faire ça. Quand je l’ai passée au vestiaire, je n’ai pas osé sortir et traverser les couloirs menant à la sortie ainsi vêtue. Voilà, ça m’apprendra à penser que je suis plus courageuse que je ne le suis réellement. — C’est tout ? Valérie s’emporte un peu. — Oui, c’est tout ! J’avais achetée la robe exprès pour cette soirée et je ...
    ... suis super déçue de ne pas la porter. — Tu es tellement belle ainsi, ça paraît impensable que tu puisses l’être plus. Elle sourit enfin alors que nous sortons de la zone industrielle dans laquelle se trouve son entreprise. — Arrête-toi, j’ai envie de t’embrasser. Obéissance immédiate. Je me range sur le côté et embrasse la très jolie brune avec chaleur. Je repars ensuite. Comme d’habitude, Valérie ne demande pas où nous allons. D’ailleurs, je ne vais pas bien loin. Un quart d’heure de voiture, un village. Je me gare. Hors de la voiture, nous nous embrassons plus longuement. Je bande déjà. — En petite secrétaire, tu m’excites comme jamais. Elle rit. — Je remarque ça ! Nouveau baiser. — Cette jupe te fait des fesses… Mon Dieu ! — Qu’attends-tu pour les caresser alors ? Je passe mes mains sur son cul et la plaque contre moi, tout en l’embrassant à nouveau. Musclées, dures, bombées, ses fesses sont vraiment fabuleuses. Déjà bien chauds, nous prenons tout de même le chemin du restaurant et nous installons sur la terrasse. Durant le repas, je ne peux détourner le regard de cette femme magnifique, ses jambes galbées font mon bonheur, ses seins ronds égayent mon appétit, son visage mutin excite mes envies. Au dessert, sa nouvelle robe revient sur le tapis. Valérie est toujours aussi déçue et fâchée de ne pas l’avoir mise. Je dis : — Mais elle est où cette robe ? Tu l’as laissée au travail ? — Pas du tout, elle est dans ta voiture, dans le petit sac blanc. — Alors pourquoi tu ne la ...
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