1. Valérie : l'insoupçonnée (4)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Hétéro

    ... mettrais pas maintenant ? — Déjà, elle est dans ta voiture qui n’est pas garée à côté et ensuite, je fais quoi de ma tenue ? Le sac est minuscule. — Alors on boit le café, on règle et tu te change dans la voiture. A cette heure-ci, aucun risque de croiser quelqu’un dans ce patelin. Valérie ne répond pas. Elle interpelle le serveur : — Deux cafés et l’addition, s’il vous plait ! J’éclate de rire. rzhrkkjt Le chemin jusqu’à la voiture nous prend le double du temps. On se taquine, on se chamaille, on s’arrête pour s’embrasser, on rit, on s’enlace, on se repousse. De vrais adolescents. Cette soirée est rafraichissante. A la voiture, j’ouvre les portes avant et arrière du côté d’un buisson afin que Valérie puisse se changer entre les portes. Je reste avec elle : — Hé ! Ça doit être une surprise ! Alors tu sors de mon vestiaire ! Rires. — Tu permets ? J’attrape la mince ceinture, l’ouvre et la retire. Je la pose sur le siège passager. Valérie sourit et se tourne. Je descends lentement la fermeture Éclair de sa jupe, découvrant petit à petit un nœud blanc qui retient deux sublimes pans de string en dentelle blanche qui glissent entre ses fesses. De la lingerie de grande qualité. — Tu me rends fou… J’accompagne la jupe tombe ensuite à ses pieds et me retrouve accroupi devant ses fesses que je vois pour la première fois. Je suis subjugué et incroyablement excité. Son cul est à tomber. Je me demande alors ...
    ... comment je n’avais pas remarqué cela lors que nous travaillions dans la même entreprise… Valérie se tourne. La face avant du string est finement transparent et je discerne légèrement les contour d’une fine toison se le haut du sexe de la belle. Je me relève. Comme les précédents, le balconnet blanc ne dissimule pas grand chose de ses tétons. Je l’embrasse, lui répète qu’elle est une femme magnifique et qu’elle m’émoustille au possible. Il n’y aurait aucun problème à ce que Valérie me suce là mais elle me repousse doucement. — File ! Je suis impatiente de te montrer la robe. J’attends deux minutes, maximum. Je ne triche pas. A vrai dire, j’adore les surprises alors je ne cherche pas à la voir en douce. J’entends les portes qui se referment mais je ne bouge pas. J’attends son signal. Elle me dit de fermer les yeux et lorsque je les rouvre, Valérie est devant moi, radieuse. Elle porte un courte robe fluide, nouée sur sa hanche gauche. La robe est bleu marine imprimée de marguerites en bouquet sur les épaules. Le décolleté est superbe. — Oui, en fait, oui. Tu peux être encore plus belle. Elle me saute au cou et m’embrasse. Je demande : — Que dirais-tu d’une petit balade digestive au clair de lune ? — Je pense que c’est une très bonne idée. Je prends un sac à dos dans la voiture et nous partons, mais dans la main, sur un chemin goudronné au milieu des vignes. Il n’y a plus d’habitation alentours. Ni âme qui vive. 
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