1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (9)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... gorgeant d’espérance à se savoir prisonnier entre-elles. Elle réfléchissait tout en scrutant sans scrupules mon corps nu, notamment mon sexe. Quand je pense qu’elle avait un fils de mon âge… Son index posé sur sa bouche, elle prit ce que je concevais la bonne solution. — D’accord, alors viens dans le salon. Dit-elle avec une idée derrière la tête. En la suivant, je voyais son cul aussi beau que Véronique mais il ne fallait pas tout mélanger. Sa chute de reins était majestueuse et quand elle se retourna, ses seins vifs m’entrainèrent dans une tourmente. Il y a quelques semaines encore, je me serais traîné devant une telle créature, pâmé à ses pieds et désormais je faisais le fier. J’exigeais de cette mature somptueuse, du haut de mes 23 ans qu’elle accède à mes désirs immédiats. Et c’est ce qu’elle fit. — Assieds-toi sur le canapé Patrick, après je te demanderai une faveur. M’expliqua-t-elle en s’agenouillant. Je m’abstenais de toute réponse pour la voir se mettre à l’œuvre. Le regard coquin, la garce savait y faire et ses mains soupesaient mes testicules pour ensuite caresser ma verge. Sans être médisant, je ne ressentais pas le besoin de lui prodiguer des conseils comme ce fut le cas avec ma tante. Lentement, sa langue flatta la base de ma verge puis ses lèvres divines charmèrent mon gland. Elle caressait mon torse, preuve imminente que ma fellation allait débuter. J’avais cette folle impression d’assister à un spectacle devant la maîtrise de Patricia et son art consommé ...
    ... en la matière. — Ca te plait ? Me demanda-t-elle en apposant ses lèvres contre la pointe de mon sexe étourdi par ses manœuvres. — C’est parfait. Ma grande brune de 48 ans me fit un sourire de satisfaction. Puis elle baissa la tête et j’entrais dans une autre galaxie. Je ne pouvais que contempler sa virtuosité en regardant ses lèvres majestueuses offrir un cortège royal à mon sexe pour le laisser s’engager dans les profondeurs de sa bouche. J’avais affaire à une magicienne, elle avait l’Oscar de la fellation sans minimiser ma tante. Ma belle Patricia me suçait dorénavant sans relâche et cajolait mon sexe comme son bébé. Elle le promenait dans le parc pour lui faire prendre l’air et de peur qu’il ne prenne froid, elle le couvrait en l’enveloppant dans la chaleur intime de sa bouche maternelle. — La vache, tu suces super bien Patricia ! M’exclamais-je en lui caressant sa frimousse. — Je ne le fais pas souvent. Répondit-elle en laissant parcourir mon gland sur ses lèvres suaves. — Allez suce encore. Lui dis-je. Patricia me répondit par un sourire pour reprendre sa fellation. Elle avait un tempo incroyable pour engloutir mon sexe puis pour le faire ressortir avec sa langue virevoltante. Ensuite elle me branlait doucement pour me lécher avec application. Enfin elle me pompait à un rythme régulier en promenant ses mains sur mon torse. Délicate, attentionnée voire passionnée furent les mots qui la définissait le mieux dans cet exercice subtil. — C’est bien… — Oui mais maintenant j’ai ...
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