1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (9)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... insolente pour ne conserver que le bonheur de se faire transpercer par le gros sexe de son neveu. Avec ses jambes repliées contre elle, il est un fait que notre ébat ressemblait plus à un vulgaire film porno. Je la pénétrais au plus profond d’elle-même et force fut de constater que ma tante en appréciait fortement la saveur, dira-t-on. Je la sentais sur le point de jouir, ses mains s’agrippaient à la table, elle ondulait son bassin pour mieux me recevoir et enfin, elle avait les yeux fixés sur moi avec la bouche ouverte. Avec de grands allers et retours entre ses fesses, mon sexe se régalait désormais de la consommer à sa guise. — Toi ma belle, tu es sur le point de jouir… Insinuai-je en caressant ses cuisses. — Oui je crois… Soupira-t-elle en faisant des vagues avec son ventre. — Montre-moi comment tu jouis. Lui dis-je en en câlinant le haut de son intimité. — Oh ouii !!! C’est tout à fait ça… Gémit-elle en s’abandonnant, en se laissant pénétrer par mon sexe en mode rafale. — Jouis ma toute belle ! Lui ordonnai-je tandis que son superbe corps se raidissait sous mes ruades brutales. — Oui… Ne t’arrête plus mon chéri… Une fois l’apothéose finale terminée, mon sexe baignait dans la moiteur de son cul et Véronique sans scrupules me demanda de rester encore en elle. Etourdie pas un trop plein d’émotions, elle avait mis de côté sa fierté pour savourer désormais sa sodomie en émettant de petits cris jouissifs, au gré des va et vient de ma verge ardente dans son canal apprivoisé. ...
    ... Sur ce plan-là, j’étais au moins certain de l’avoir convertie. Le lendemain, nous n’évoquions pas le problème Patricia. Je devais en toute logique, suite au texto envoyé la veille la rejoindre pour 14 heures. Après le déjeuner, nous prenions notre café et j’abordais ce sujet douloureux. — Véronique, je ne veux pas y aller. Je pense à hier soir, à tout ce que nous faisons ensemble, je n’y arriverai pas. Je pense trop à toi. Ma tante, comme la majeure partie des femmes était très émotive et comme hier, elle avait les yeux brillants. Mais elle se reprenait en pensant à sa grande sœur, à tout le mal que cela engendrerait si notre relation incestueuse était dévoilée. — Patrick, ça me blesse autant que toi mais ça me passe au-dessus de la tête. Je la sais capable de nous faire du mal, je ne veux et je ne pourrai pas supporter un tel affront. Je t’en conjure, tu vas la voir et moi, j’oublierais cette après-midi qui n’aura jamais existait. Fait le pour moi. Me supplia-t-elle. — Alors dans ce cas, on s’en fout, tu me déposes chez elle ! — Ah non ! Je n’y parviendrai pas, tu prends ma voiture et n’en parlons plus. Rétorqua-t-elle. — De toute façon je mets une capote, ce sera comme si je n’avais rien fait avec elle. — Oui j’espère qu’elle sera d’accord. — D’accord ou pas, je me protège et elle a quel âge au juste ? Lui demandai-je. — Elle triche et a un fils du même âge que toi, je crois qu’elle doit avoir 48 ans mais avec le fitness, elle est encore mignonne et elle sait faire refaire ...
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