1. La mère de ma copine Elodie (5)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... finisse en plan à trois sur le canapé, je ne vais pas dire que cela m’aurait déplu. smrsyyed Nous nous sommes tous levés pour nous quitter nous nous fîmes la bise, voilà bien longtemps que je n’avais pas embrassé Geneviève sur les joues. La maman a quitté sa fille en lui collant une main au cul indiscrète en lui disant: — Je compte sur toi pour faire honneur à la famille. J’ai surpris leur regard complice et coquin, je pense que la mère connaissait notre programme pour l’heure à venir. Une fois que nous nous sommes retrouvés tous les deux chez-elle, dans l’intimité et ce n’était pas un luxe vu l’état d’excitation dans lequel nous étions, nous avons pris la direction de sa chambre. J’ai fait attention à vite me débarrasser de la culotte que je portais car c’était une de sa mère, en même temps au fond de moi au stade où j’en étais, je me disais que j’étais prêt à affronter les commentaires de ma chérie. Mais à côté de ça, je ne voulais pas la peiner, du coup je faisais toujours attention; quitte à me déshabiller, je me suis mis tout nu. Je n’ai pas vraiment laissé le temps à Élodie de se dénuder elle aussi, je l’ai allongée sur le lit avant de plonger sous sa robe. J’adorais l’odeur de son minou et je peux vous dire que là j’en prenais plein les narines, je suis allé droit au but ne pensant qu’à me délecter de sa cyprine. Son abricot était totalement liquéfié, il n’attendait que mes coups de langue gourmands et sources de plaisir. Il ne lui a pas fallu longtemps avant de ...
    ... commencer à soupirer, c’est le moment que j’ai trouvé pour me décider à la pénétrer tout en douceur. J’étais sûr que aujourd’hui cela allait rentrer comme dans du beurre, vu que ma belle lubrifiait énormément. J’ai relevé l’avant de sa robe pour venir me présenter à l’entrée de sa grotte du plaisir, j’ai positionné ses jambes dans le creux de mes bras et je l’ai pénétrée. Ma position me permettait de l’embrasser pendant que j’étais en train de la besogner, je trouve ça personnellement très érotique que d’embrasser sa partenaire pendant que l’on est en train de lui faire l’amour. La sensibilité de mon poitrail arrivait à discerner la dureté de la pointe de ses seins, tout mon corps était devenu une zone érogène. La moindre de ses caresses augmentait encore mon excitation. La douceur et la fragilité de ses jambes me faisaient des sensations formidables au contact des miennes. J’adore ce moment où le ou la partenaire dans la vie de tous les jours est dur, ferme voire autoritaire, alors que cette dernière et totalement offerte et fragile pendant l’acte amoureux. Je pense que l’homme a du mal à se relâcher à ce moment-là, mais au fond de moi je me dis qu’il n’y a pas de mal à se dévoiler fragile. Par moment je regardais Élodie dans les yeux, je crois que je n’avais jamais vu son regard à ce point coquin. Même si la position n’y était pas vraiment propice, je prenais grand plaisir à lui caresser les flancs, car je les savais sensibles et réceptifs. Par moment je me laissais déconcentrer ...
«1234...»