1. La mère de ma copine Elodie (5)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... par un immense tableau qui se trouvait au mur, une oeuvre de Gustave Caillebotte <Les Raboteurs de parquet>. Bizarrement l’éclairage à contre-jour de ce tableau avait l’air d’éclairer la chambre de ma belle. Tout à coup, à ma grande surprise, ma belle était sur le point de prendre son pied, alors que d’habitude c’est moi qui partais en premier. Quand elle est partie elle s’est mise à pousser des cris comme jamais elle ne l’avait fait auparavant, cela me faisait tout drôle car j’avais l’impression de lui avoir fait mal, j’avais l’impression d’abuser d’elle; mais en fait ce n’était que le plaisir qui était en elle qui s’extériorisait. Maintenant son regard été perdu et surtout elle me serrait très fort contre elle, c’était un moment unique que j’adorais savourer avec elle. Il m’a fallu que quelques instants de mon côté, pour prendre mon pied à mon tour et lui déposer toute ma semence au plus profond de son intimité. Maintenant tous les deux étions épuisés et recherchions la caresse de l’autre même si nos corps avaient une sensibilité à fleur de peau, pour quelques instants encore. — Je suis désolé mon chéri c’est le comportement de ma mère qui m’a énormément excitée. — Je crois que tu lui plais. De mon côté je ne commentais pas ces confessions mais je ne préférais pas trop aborder le sujet. Élodie a tiré les draps en coton peigné sur nous, histoire que nous n’attrapions par froid après cette partie de jambes en l’air mémorable. Compte tenu du fait que je ne débandais pour ...
    ... ainsi dire pas, cela m’a permis de rester encore un petit bout de temps caché dans les entrailles de ma belle. Je ne sais pas pour vous, mais je donnerai tout l’or du monde pour vivre ces moments de tendresse et de douceur, enlacé dans les bras de votre dulcinée. Nous sommes facilement restés quarante minutes collés l’un à l’autre, pour ne pas dire emboîtés l’un dans l’autre. Puis ce sont l’arrivées de SMS qui nous ont sortis de notre état semi-comateux, en fait belle-maman nous envoyait des petits messages. — Tout à l’heure tu aurais pu te faire ma mère. Ce que venait de me dire ma chérie m’a laissé complètement sur le cul. — Tu sais avec ma maman, nous sommes très complices. Je ne savais pas trop quoi répondre à ses propos tenus. Au fond de moi, j’étais en train de me dire que les SMS qu’elle venait de recevoir de la part de sa mère, devaient être chauds, très chauds. — Comment tu la trouves ma mère. Là, j’en ai profité pour faire une petite pirouette en lui disant que en général on regarde la maman pour voir comment sera la fille dans vingt ans voire vingt-cinq. Je me suis servi de ce vieil adage pour lui dire que sa mère était fort belle et fort désirable. Quand j’ai reçu des SMS, qui bien évidemment venaient de Geneviève, je suis devenu tout rouge en ouvrant le MMS reçu où elle m’a envoyé une photo de son entrejambe tout mouillé. Décidément future belle-maman n’était pas à court d’idée pour les sexto, bien évidemment je me suis dépêché de cacher la photo. — quand je vois les ...
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