La voix de l'amour, suite et fin
Datte: 07/08/2020,
Catégories:
fh,
hh,
Collègues / Travail
vacances,
vengeance,
Transexuels
facial,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
... elle. Sa bouche avait aspiré, sucé le nectar de l’abricot. Balou avait dégusté chaque instant avant de laisser sa langue pénétrer plus avant le ventre de Victoria. Le plaisir avait déferlé en elle par vagues gigantesques, elle avait hurlé sa joie à n’en plus finir en se tordant sur le sable mouillé. — À quoi penses-tu Vicky ? Elle regarda intensément son amant avant de répondre : — Je sais que je suis heureuse en ta compagnie, tout simplement. Tous deux était assis en face du port. Balou baragouinait un peu le grec, ce qui leur permettait d’éviter les pièges à touristes. En face d’eux à quelques mètres, une vielle femme « aplatissait » des poulpes en les cognant contre la roche de la jetée, pour ensuite les étendre sur une corde. Ainsi la chair de l’animal serait plus tendre sous les fins palais des gastronomes. Ils restèrent ainsi de longues minutes à observer la vie des habitants. Le petit port de pêche fourmillait d’une multitude d’artisans et d’échoppes en tout genre, de cireurs de chaussures, d’écrivains publics, de réparateurs de filets de pêche, de vendeurs de poissons à la criée… La vie nocturne de Porto Héli n’est pas à proprement parler ce qui se fait de mieux. Cependant si le touriste recherche des sensations fortes, il se rapprochera des complexes touristiques où discothèques et bars en tous genres offrent leurs services quatre mois par an. Victoria et Balou avaient déniché un petit appartement en bord de mer dans une résidence de vacances de bon niveau. Ils ...
... avaient décidé que leurs vacances seraient faites de farniente et de luxe(ure). Contrairement à Balou, Victoria honnissait les gîtes de campagne sans confort. Il lui fallait absolument retrouver le même standing que chez elle, Balou lui s’en foutait car ayant bourlingué en routard aux quatre coins du globe, cela lui était complètement secondaire. Il avait fait découvrir à son amie les tavernes grecques authentiques où on dégustait des plats locaux dans une faune locale colorée et bruyante. Les ouzéries ou kaféneon, complétèrent la découverte culinaire de Victoria. Ces estaminets étaient généralement envahis par les hommes le matin pour déguster le café grec, et vers 11h30 l’ouzo coulait à flots et accompagnait les mézzés. Peu de femmes grecques fréquentaient ces établissements, encore moins des touristes. C’est contraire à la tradition, parait-il, mais les visiteurs sont acceptés. « Encore un zest de machisme qui perdure », pensa Victoria. Ils passaient leurs journées à paresser sur la plage, ou à discuter avec les autochtones autour d’un ouzo. Puis, le soir ils dégustaient les moules farcies, les salades de poulpes, les rougets grillés, les calamars frits, et bien d’autres délicatesses. Plus tard encore, leur appétit apaisé, d’autres envies de chair les emportaient dans des corps à corps torrides le restant de la nuit. Parfois Victoria réussissait à emmener Balou en discothèque, jusqu’au bout de la nuit. Victoria adorait danser, Balou était complètement à l’opposé puisqu’il ...