Wagon de nuit
Datte: 07/08/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
handicap,
voyage,
train,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
occasion,
Avec de jeunes collègues, Claude, Gilbert et Patricia, nous sommes allés assister à un colloque en Allemagne. Pour ne pas se trouver seule femme du groupe, Patricia est venue avec une amie. Je suis surpris de reconnaître son amie, c’est Clémence. J’avais assuré sa formation en comptabilité plusieurs années auparavant et nous avions eu, très progressivement, une aventure qui s’était arrêtée brusquement. Arrêt dû à mon incapacité physique à satisfaire une femme, après un accident de voiture. Pendant le séjour, nous avons pu échanger quelques mots, elle se montre amicale avec moi, mais elle garde ses distances, je la comprends, elle sait maintenant que ne peux pas la satisfaire ; par contre elle a beaucoup apprécié la compagnie de mes collègues, je le comprends bien aussi. Pour le retour, nous prenons un train de nuit. En sortant du wagon-restaurant, on comprend vite que Gilbert a envie de rester seul un moment avec Patricia, il l’accompagne dans sa cabine, Clémence reste avec nous pour ne pas les déranger. D’une façon inattendue, le comportement ambigu de Clémence jette très vite le trouble. En plaisantant sur le bon temps que prennent Patricia et Gilbert, Clémence nous fait comprendre, à demi-mot, que nous pourrions en prendre aussi avec elle. Elle s’assied sur la banquette, silencieuse, le souffle court. Je m’assieds à côté d’elle. Claude éteint la lumière centrale et vient s’asseoir près d’elle lui aussi, il ne reste plus que les veilleuses du sol. ooOOoo Elle se laisse ...
... faire quand je caresse doucement son dos. Claude, plus intrépide, l’a déjà prise par les épaules et s’est mis à l’embrasser sur la joue. Mais quand il cherche à poser ses lèvres sur les siennes, elle se dérobe en baissant un peu la tête. Il n’insiste pas et continue en faisant descendre ses baisers dans son cou. Elle sent que j’essaie de soulever son chemisier, sans un mot, elle commence à défaire les boutons… on se repousse un peu sur le côté le temps qu’elle le retire, puis elle défait un peu le zip de son pantalon et remonte légèrement son t-shirt pour que je puisse glisser ma main dans son dos… elle s’est peut-être souvenue que j’avais aimé la caresser ainsi et sentir la courbe de ses reins sous ma main. Pendant que j’apprécie la douceur de sa peau et ses deux petits muscles juste au-dessus des fesses, Claude s’est emparé de ses seins par-dessous son t-shirt. Elle le laisse les caresser un moment, sa respiration se fait plus rapide, elle passe ses pouces sur les bords de son pantalon et le fait descendre sur ses cuisses. Galant, Claude se lève et l’aide à le retirer entièrement, pendant que je caresse son petit ventre rond et musclé… cela faisait si longtemps… Elle se redresse et ôte son tricot de peau. Dans la pénombre, ses seins jaillissent, magnifiques, des seins fermes de sportive qui se tiennent sans avoir besoin de soutien-gorge. Nous restons ainsi quelques secondes sans bouger, juste à admirer cette fille splendide qui se met à nu devant nous… pour nous. Claude ne sait ...