Wagon de nuit
Datte: 07/08/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
handicap,
voyage,
train,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
occasion,
... doigts l’hommage que Claude a déposé. En ce moment, il ne doit pas perdre une miette du spectacle, et bizarrement cela m’excite encore plus qu’il nous regarde. Je remonte plus haut, au centre de son plaisir. Il est tout rond, tout moite, encore plus gros que tout à l’heure. J’appuie… Il roule sous la pression, Clémence gémit et se tend : elle n’a pas encore joui. Je m’empare de son clitoris avec passion, je le fais tanguer, de droite à gauche, de haut en bas, en effleurant, en appuyant… Clémence gémit et bouge contre moi, je sens que je la fais souffrir en retardant le moment. Mais grâce aux mouvements désordonnés de ses fesses, je sens une tension que je n’avais pas ressentie depuis des années. Mon sexe s’étire encore plus, le gland glisse hors du prépuce et je le pousse entre ses cuisses. Je saisis fermement son clitoris et je le frotte énergiquement sans interruption, je veux mettre fin à son supplice, je sens sa main fébrile qui frôle la mienne et l’encourage. Ses reins continuent à aller venir en poussant vers moi. Elle a bien senti ce qui m’arrive et a compris qu’elle me communique sa propre excitation. Elle aspire l’air brusquement… Un grand cri… Elle jouit… Sa main se plaque sur la mienne pour me faire écraser son clitoris. En même temps, elle se cambre très fortement pour que mon sexe se trouve en face du sien ; de sa main libre, elle le saisit et le présente juste à l’entrée. J’oublie que Claude est passé par là avant moi, et il me suffit d’une profonde poussée ...
... pour m’introduire, sensation de chaleur, de douceur… je les avais oubliées. Je la pénètre juste au moment de son orgasme, son vagin s’est dilaté et je la pénètre en entier. Je sens ses fesses contre mon ventre, je suis au fond. Une torsion brutale dans le bas-ventre me fait crier et mon sperme jaillit. Il se déverse en elle, la remplit. Je pleure en sentant une nouvelle giclée qui sort… Encore… Encore… Je ressens les derniers spasmes de l’orgasme de Clémence quand mon corps se détend, après s’être vidé. Sa main est crispée en haut de ma cuisse, juste sous ma fesse. Au lieu de se laisser aller entièrement à son plaisir, elle a constamment pensé au mien, me maintenant solidement enfoncé en elle. Je détache doucement sa main, elle garde la mienne dans la sienne et la porte à ses lèvres. C’est la première fois qu’une femme m’embrasse la main comme ça. Je suis encore un peu en elle, je sens bien qu’elle reste un peu cambrée pour prolonger cet instant. Elle pose ma main sur son sein et doucement on se laisse aller. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, j’ai dû m’endormir. Une lumière crue dans le wagon. — Pardon ! dit une voix, et la lumière s’éteint. C’est Gilbert qui est revenu. — Vous dormez ? Bon, on a compris, il a envie de parler, et puis c’est vrai que nous sommes à sa place. Pendant que Gilbert nous regarde avec curiosité, je pose le chemisier de Clémence sur ses cuisses pour camoufler sa nudité et je mets mon pyjama. — Je vois qu’il y en a qui ont eu de la ...