1. Jérémy en vacances en Corse (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Gay

    ... mes conquêtes ont faites en se trouvant dans la même situation ! D’autres avaient l’air de bien aimer ! Tous les goûts sont dans la nature, non ? Même si je ne suis pas un adepte de ces jeux entre mecs, je ne suis pas sans savoir que la finalité n’est pas de se sucer la queue. En toute logique, je vais devoir passer à la casserole, c’est obligé. Pas sûr que ça me plaise autant que de me faire faire une gâterie par un homme ou de la lui faire... J’allais vite le savoir. Giorgio s’est relevé et m’a demandé de me mettre à genoux ce que j’ai fait sans rechigner. Étais-je résigné ou curieux d’aller jusqu’au bout maintenant que j’avais si bien commencé ? Il s’est assis devant moi, réclamant de toute évidence une seconde pipe. J’avais dû faire ce qu’il fallait pour qu’il en redemande ! Tonio, quant à lui, s’est chargé de transformer ce qui, jusqu’à ce jour, a toujours été une porte de sortie en un large portail d’entrée avec l’ambition certainement d’y faire entrer un autobus ! Mon esprit avait du mal à se scinder en deux. La pipe d’un côté avec un Giorgio qui aurait bien aimé que je lui avale sa bite de bout en bout, de l’autre les doigts, la langue de Tonio qui œuvrait assidument sur mon petit trou. À ce qui me semblait, il ne devait déjà plus mériter ce qualificatif. Et de deux ! Giorgio éjacula dans le fond de ma gorge, provoquant une quinte de toux de ma part et des yeux larmoyants. J’ignore comment j’ai pu faire cela mais j’ai réussi à avaler sa bite jusqu’aux couilles. J’ai ...
    ... cru mourir étouffé ! Du coup, je ne me préoccupais plus de ce que pouvait faire Tonio. Mais quand j’ai senti son sexe investir mes boyaux, s’avancer doucement mais surement dans le plus profond de mon être, j’en ai oublié Giorgio, la gorge profonde, la bave qui me dégoulinait sur le menton et mes yeux qui ne voyaient plus rien, noyés dans les larmes. Comment dire cela ? Je n’ai pas vraiment les mots qui me viennent. C’est étrange. C’est dérangeant. C’est obsédant. Toute mon attention est concentrée là, dans le bas de mon ventre. J’ai peur d’avoir mal. Non ! Ce n’est pas ça. Je ne sais pas. Je ne sais plus rien ! Tonio s’est immobilisé. Pas facile de dire où il en est mais je ne crois pas qu’il se soit avancé beaucoup. Je perçois les pulsations de son sexe. Je ne sais pas si ça m’excite ou si ça me dégoûte. Il recule, sort, crache. Je sens sa salive couler dans ma raie puis de nouveau le contact doux et chaud de sa bite. Il me pénètre, doucement mais probablement plus profond que la première fois. Je ne ressens aucune douleur. J’en suis surpris. Je crois bien que c’est ce qui me faisait le plus peur ! Ses mains, à plat sur mes fesses écartent mon anus. C’est plutôt ça qui me fait un peu mal. Il s’est retiré de nouveau puis réintroduit avec plus de facilité m’a-t-il semblé. Il le refait plusieurs fois, plein de fois. J’aime bien ! Mon trou de balle doit être complètement dilaté. Je ne le sens en moi que quand il est enfoncé profondément. Pour la première fois, ses couilles sont ...