1. Jérémy en vacances en Corse (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Gay

    ... mal, plus mal du tout. Bien au contraire ! Il a réussi à me faire jouir encore une fois mais sans même effleurer ma bite. Je gicle sur mon ventre, sur ma poitrine et ça le fait marrer. — T’aimes ça, hein ! Tiens ! Tiens ! Je ne suis plus qu’une poupée de chiffon entre ses mains. Il peut me baiser jusqu’à ce soir, je suis incapable de la moindre réaction sinon de gueuler des conneries comme des "Encore" ou des "Vas-y, plus fort" comme si c’était possible. Il a une résistance hors du commun ce mec ! Enfin, quand même, je vois qu’il arrive au bout de sa folie lubrique. Il se retire soudain en tenant sa bite d’une main, progresse à genoux vers mon visage et lâche d’un coup une quantité de sperme suffisante pour me noyer ! J’en ai plein les yeux. Ça me dégouline de partout. J’ai un vertige. Il m’a complètement épuisé. Je n’ai même pas la force de m’essuyer le visage et je reste les yeux clos, hors d’haleine. Il m’a libéré les jambes et je les laisse retomber lourdement. Il va se passer un bon moment avant que je bouge de là ! Son sperme me brûle les yeux mais je ne peux rien y faire, en tout cas, ...
    ... pas maintenant ! Je ne pourrais dire combien de temps je suis resté ainsi, les bras en croix, incapable du moindre mouvement. C’est la voix de Tonio qui m’a fait réagir. Je n’y vois toujours rien ou pas grand-chose d’autant plus que le soleil me tape directement dessus. Je distingue vaguement qu’ils se sont rhabillés et qu’ils sont debout devant moi. — Tu reviens demain ? Demande Tonio. Bonne question que je vais certainement me poser un nombre de fois incalculable d’ici à demain ! Je balbutie un "certainement" peu convaincu. — Et bien, dans ce cas, à demain ! C’était super ! J’entends leurs pas crisser dans le sable et puis plus rien. Je reste là, nu, barbouillé de foutre. J’en ai partout, dans les cheveux, sur le visage, sur le torse. Jusqu’à présent, mon trou du cul ne m’avait pas renvoyé d’information malgré le traitement de choc qu’il venait de subir mais, petit à petit, une brûlure pointait son nez, d’abord insignifiante mais de plus en plus présente. C’est alors que j’ai pensé qu’il me fallait retourner au village... À vélo ! Je crois que je ferais tout aussi bien d’enlever la selle ! 
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