1. Première expérience gay


    Datte: 08/08/2020, Catégories: hh, hagé, Collègues / Travail magasin, Oral init,

    ... s’enchaînent. Le boulot est sympa, malgré quelques petits désagréments causés par quelques mamans fusionnelles avec leur gosse et qui ont une fâcheuse tendance à nous prendre pour des esclaves. Nous nous entendons super bien avec José. L’entente est parfaite et nous nous sentons solidaires dans le boulot. Petit à petit, une certaine amitié se fait jour. J’aime nos discussions dans notre minuscule vestiaire : il pousse à l’intimité et aux confidences. Maintenant, je me rends compte que je regarde différemment José quand il se déshabille. Aujourd’hui, le voir en caleçon me trouble. Mes yeux se portent sur la bosse de son sexe. J’ai l’impression que son caleçon est parfois trop étroit pour sa nature, me semble-t-il généreuse. Le fait d’imaginer son sexe provoque chez moi une excitation que je n’avais pas connue depuis longtemps. Mon sexe est en érection. Je m’accroupis pour défaire ma chaussure. José fait glisser son caleçon. Il est nu, et son sexe se retrouve à quelques centimètres de mon visage. Il me semble en demi-érection. Décalotté, son gland m’apparaît massif, épais. Je n’avais jamais observé le sexe d’un autre homme d’aussi près. Mes yeux balaient de haut en bas sa verge. J’essaie d’en retenir le moindre détail. Je suis troublé. J’ai envie de prendre ce sexe dans ma main, de le mettre dans ma bouche. Cette image tourne dans ma tête, et mon corps réagit. Le problème c’est que moi aussi je suis en boxer, et que cela se voit. Heureusement que je suis accroupi. Je lève les ...
    ... yeux et… je surprends le regard de José. Il me regarde. Un sourire naît sur ses lèvres. Il a dû surprendre mon regard qui s’attardait sur son membre. — Eh bien, Jean, quelles pensées traversent en ce moment ton esprit pour que ton corps réagisse aussi… fort ?— Euh… Je me mets à bafouiller, tel un collégien pris en flagrant délit de bêtises. — En fait José, c’est en te regardant que cela m’a pris.— J’en suis flatté. Observé par un hétérosexuel de longue date – et qui réagit – me laisse pantois.— Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je suis désolé, José, pour t’avoir mis dans l’embarras.— Allons Jean, ce n’est rien. Je suis même agréablement touché par ta réaction. Le fait de me l’avouer renforce notre confiance mutuelle. On peut et on doit se dire la vérité entre amis. Es-tu d’accord avec moi ?— Je partage tout à fait ton opinion, mais avoue que ce n’est pas banal. C’est même quelque chose d’étrange pour moi. Je pensais que ma sexualité était déterminée, et la voilà remise en cause. Je me sens troublé dans mes convictions.— Détends-toi. Il n’y a aucun mal que tu me regardes. Que puis-je faire pour dissiper ton malaise, ou plutôt tes doutes ?— Je m’interroge sur mon orientation sexuelle. La vue de ton sexe fait naître en moi des pensées inhabituelles. En disant cela, je continue d’observer son sexe. Il me semble vivant, vu d’aussi près. Je ne sais ce qui s’est exactement passé, mais son gland est venu buter contre mes lèvres. Je ne sais ce qui m’a pris : j’ai ouvert ma bouche et je ...