1. Nous deux, Mary et Pierre (6)


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... flatter ! » Et sur ce, nous éclatons de rire tous les deux. Oh, la belle mini-croisière en perspective ! Ma seule petite inquiétude : pourvu que Bob et Linda ne soient pas échangistes, je ne « prêterai » ma Mary adorée pour rien au monde, jamais ! Maman quitte ses sandales puis sa belle petite robe bleue, pour se retrouver en bikini blanc, joli, mais un peu trop sage à mon goût... Il fait un temps magnifique, ciel d’azur, et la mer est d’huile. Le « Tropical » va contourner le Rocher du Diamant, que ces salopards d’Anglais persistent à appeler « Her Majesty’s Ship Diamond Rock », tout ça parce que sous Napoléon les Français n’ont jamais pu leur reprendre, et qu’ils considèrent ce gros caillou comme un navire de sa « Très Gracieuse Majesté »... Mais revenons au présent. S’il y a des canons, ce sont ceux de la beauté qui s’expriment, surtout ceux de Mary, et à un degré moindre ceux de Linda. Je trouve que notre skipper, Bob en l’occurrence, nous éloigne un peu trop de la côte. C’est dommage car cette côte est splendide. Mais je vais bien vite comprendre la raison de cette navigation. Ne risquant plus d’être vue depuis une plage, Linda quitte son petit deux pièces pour se retrouver entièrement nue sur le pont ! Imitée de suite par cette chipie de Mary... Rejointes par Bob, qui, tout en continuant de barrer, quitte son t-shirt et son slip de bain. Me trouvant tout bête d’être le seul encore habillé, je n’ai donc pas d’autre choix que de me dévêtir à mon tour. « A poil, tout ...
    ... l’monde à poil ! » chantait Pierre Perret voici longtemps, c’est à présent chose faite. Ma petite crainte échangiste demeure, mais va s’estomper lorsque Linda vient rejoindre Bob à la barre, et me dit, avec quelques délicieuses fautes de français : « Pierre, vous retrouver madame à l’avant du pont, je crois qu’elle attend vous beaucoup !... » Prenant garde à ne pas tomber à l’eau, je rejoins donc Mary, alanguie au soleil à l’avant du bateau, et je m’allonge à ses côtés. Il ne lui faut que quelques secondes pour se tourner vers moi, empoigner ma bite encore molle, qu’elle va faire se redresser à vitesse grand V... Je peine à réaliser : maman, nue tout contre moi, me masturbe doucement mais fermement, au soleil, sur le pont d’un voilier, au large de la côte martiniquaise, et je suppose sous les yeux d’un couple qui ne doit pas en perdre une miette !... La sensation est merveilleuse, celle d’une totale plénitude. Mais je ne saurais me contenter de cette douce branlette maternelle, maman non plus du reste. Sa bouche remplace bien vite sa main sur ma queue. Elle me pompe avec amour, tandis que je caresse son dos, ses belles fesses. Même cette pipe m’est insuffisante. — Maman, j’ai envie de toi ! — « Oh oui mon cochon de fils, viens sur moi, baise-moi ! ». Selon une expression chère au Marquis de Sade, « la posture s’arrange », et me voici bientôt ramant dans la chatte de maman, jambes grandes ouvertes sous moi. Tout en la baisant, je m’agrippe à ses deux belles oranges, fruits du ...