1. Nous deux, Mary et Pierre (6)


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Jardin d’Eden ! Elle croise ses chevilles dans mon dos, me comprimant dans un très érotique étau. Mes yeux ne quittent pas les siens, ses beaux yeux noisette. Nos bouches se joignent, pour un langoureux baiser. Redressant quelques instants la tête, que vois-je ? Bob dirigeant toujours la manœuvre, avec à ses pieds Linda, procédant à une toute autre manœuvre : elle le suce avec ardeur ! Croisant mon regard, Bob lève le pouce à mon intention, et je lui rends la pareille. Chacun s’occupe de sa chacune, voilà qui me convient totalement. Dès lors, je peux m’activer dans maman avec de plus en plus de vigueur, toute retenue envolée ! Mary apprécie cette montée en puissance. « Oh oui mon amour, baise-moi comme ça, plus fort, plus fort encore, défonce ta salope de maman !... » Je place ses chevilles sur mes épaules, pour la tringler encore plus profondément. Au passage, je gratifie ses jolis pieds de quelques coups de langue. Je me dois de ralentir, même si j’ai une envie dingue de me vider en elle. Je relève à nouveau la tête. Linda s’est allongée cuisses écartées au maximum sur le toit de la petite cabine, de ce fait, sa chatte se trouve à la hauteur adéquate pour se faire dévorer par Bob, ce dont son époux ne se prive pas. Voilà de quoi me donner des idées. Mary semble attristée que je sorte de son ventre, mais elle ne va pas le regretter, car me voici de suite la tête dans sa fourche, lui broutant la minette comme un affamé ! Elle m’appuie sur la tête pour mieux me sentir contre ...
    ... sa chatte, une chatte qui émet toujours autant de jus, dont je m’abreuve. La voix de Linda me parvient soudain, avec une expression qu’il n’est point besoin de traduire : « Oh yeaaaaaah, fuck me, fuck me hard ! » et je la vois alors debout sur le pont, appuyée contre la cabine, se faisant ardemment bourrer par derrière par Bob. Ils vont trop vite en besogne, ces deux-là ! J’ai encore faim de la minette de maman, moi ! J’agace son bouton, elle sursaute, je plonge ma langue au plus profond de son antre dégoulinant. A présent, c’est Bob que j’entends, lâchant un bestial « râââââââh, I fuck you, you’re my bitch ! ». Des mots que mes lointains profs d’anglais ne m’ont pas appris, mais que j’ai découverts par la suite... Ils m’inspirent. Je reprends maman en missionnaire, la gratifiant d’un « ah Mary, comme tu es bonne ma salope, je te baise, je te baise ! ». Nos compagnons d’un jour adoptent une nouvelle position. Bob s’est allongé sur le toit de la cabine, Linda, de dos, s’est plantée sur lui, et monte et descend comme une hystérique, je dirais même qu’elle « rebondit » sur son mari. Je vois tout : ses cuisses un peu fortes bien ouvertes, sa chatte broussailleuse, son petit ventre rond qui ballotte, ses seins qui bougent en tous sens. Par jeu, je nous fais prendre une position identique. Je m’allonge, et, de dos aussi, maman s’enfile sur ma bite jusqu’à la garde. Je la saisis à la taille, et l’aide à rythmer ses allées et venues sur moi. Je ne vois que ses fesses et son dos lisse ...