Le magasin de chaussures - Histoires de Sexe

Le magasin de chaussures

... d’Alexandre, sensation qui remonte le long de la jambe et embrase son ventre. Elle serre spasmodiquement les cuisses et, par ses muscles, serre son clitoris. Le plaisir monte aussi lentement qu’inexorablement. Alexandre glisse sensuellement l’escarpin sur le pied puis le pose à terre décroisant ainsi les jambes de Marie-Chantal dans un crissement de soie. — Alexandre, vos baisers me font mouiller comme une fontaine, et je crains de tacher ce siège. Voulez-vous bien venir assécher ma source ? Alexandre écarte au maximum les cuisses et se penche pour porter sa bouche au contact de la vulve luisante. Hésitant et peu expérimenté, il donne des petits baisers sur les lèvres entrouvertes. — Avez-vous perdu votre langue, Alexandre ? Vous qui avez si bien su me parler de mes jambes, saurez-vous rendre un égal hommage à l’intimité que je vous offre ?— Les mots me manquent devant une telle beauté.— Qui vous parle de mots ? Une langue peut être parlée, mais peut également être vivante. Alexandre suivant ce conseil avisé, lèche les lèvres sur toute leur longueur puis découvre le clitoris sur lequel il entame un ballet effréné. — Doucement, Alexandre, faites durer le plaisir, vous me faites vivre un moment intense et inattendu. Nous avons toute la soirée devant nous et je veux en goûter chaque seconde. Le clitoris est comme le pistil d’une fleur, il est fragile et délicat. Butinez-le avec la légèreté d’un papillon. Oh oui, s’il vous plait, papillonnez sur mon clitoris. Huuummm, oui, comme ...

... cela, vous êtes très doué. On vous a appris cela aussi, à l’université ?— Pas précisément, mais avec vous, je sens que je vais combler ces lacunes impardonnables.— Ouuuuiiii, je vais vous apprendre, je vais tout vous apprendre. N’hésitez pas à alterner les plaisirs. Savez-vous qu’un papillon a une trompe et que cette trompe sert à boire au calice de chaque fleur ? Alors déroulez votre trompe et venez me boire. Pointant sa langue, il s’immisce entre les lèvres et découvre un vagin trempé qu’il lape avec empressement. — Oooohh, plus loin, essayez de pénétrer plus profondément votre langue, ooouuuiii, revenez maintenant, ravivez mon bouton d’amour, oui, oui, oui, oooouuuuiiiiiiiiii… Marie-Chantal est secouée par un orgasme qui la surprend. Alexandre ralentit son ballet puis s’écarte doucement. — Merci, mon jeune amour, vous m’avez fait jouir très agréablement. À moi de vous rendre le plaisir que vous m’avez donné et de vous dire : que puis-je faire pour vous ?— Je voudrais graver à jamais votre beauté dans mes yeux ; voulez-vous vous lever et déambuler comme vous le faisiez en entrant ? Marie-Chantal se lève, nue sous la taille, et encore complètement habillée au-dessus. Connaissant la sensibilité masculine à la vision d’une femme, ce qui rend tous les hommes plus ou moins voyeurs, elle décide de faire ce qu’il faut pour enflammer Alexandre. Elle s’approche d’un mur et voyant un joli modèle sur une étagère basse, se penche en veillant à garder ses jambes droites, faisant ainsi ...