Le magasin de chaussures
Datte: 08/08/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
chaussures,
massage,
Oral
hdanus,
init,
... yeux, tout au plaisir de ce massage. — Huuummm, voilà qui est beaucoup mieux, vous faites ça divinement bien. Vous pouvez vous rapprocher de mes tétons, et les pétrir à leur tour. La vague de plaisir qui avait reflué après son premier orgasme revient et la porte vers un niveau de volupté qu’elle n’avait pas connu jusqu’alors. Une sensation à la fois très tendre et très dense. Sa respiration devient plus profonde, plus ample. Elle ressent une plénitude qui n’a rien à voir avec l’orgasme et qui la remplit entièrement. Ce n’est pas une course au plaisir, mais un abandon au plaisir qui l’envahit. Puis, comme elle était montée, lente et inexorable, la sensation diminue lui procurant une délicieuse béatitude. — Mon jeune amour, je ne saurais décrire ce que vous m’avez procuré mais c’était tendre et exquis. Je m’aperçois que je suis affreusement égoïste, aussi, permettez-moi, à présent de m’occuper enfin de vous. Vous rêviez de m’embrasser, je crois ? Toujours agenouillés face à face, ils se redressent sur leurs genoux et leurs torses se touchent enfin. Alexandre sent la poitrine de Marie-Chantal s’écraser contre sa poitrine, il sent ses bras l’envelopper. Sa bouche effleure d’abord ses lèvres puis le baiser devient plus profond. Il sent une langue qui pointe et entrouvre ses lèvres pour l’accueillir. Le ballet de leurs langues est… langoureux. La langue française a de ces raccourcis qui n’ont pas de sens étymologique, mais qui illustrent parfaitement un ressenti. Alexandre est ...
... subjugué par la profondeur de ce baiser, il serre Marie-Chantal dans ses bras pour que chaque parcelle de son corps épouse étroitement le sien. Elle sent contre son ventre l’impétueuse érection d’Alexandre et ne peut résister à l’envie d’onduler contre cette vigueur contenue dans le pantalon du jeune homme. — À présent, laissez-moi vous déshabiller, je vous veux aussi nu que je le suis. Elle se penche vers Alexandre, lui ôte avec tendresse son tee-shirt et découvre un torse joliment musclé. Elle le fait se lever et, toujours agenouillée devant lui, déboucle sa ceinture, déboutonne le pantalon qu’elle fait glisser sur ses jambes. Le boxer, déformé par le sexe érigé, présente une tache humide au sommet de celui-ci. Elle approche sa bouche de cette tâche, l’aspire et l’enserre de ces lèvres. Puis elle pose ses mains sur la ceinture du boxer, l’écarte de cette protubérance et dégage entièrement la verge qui lui fait face. Délaissant le boxer à mi-cuisses, elle saisit d’une main la verge tendue et de l’autre soupèse les bourses gonflées. Alternant pressions et relâchements sur la verge, elle fait tendrement rouler les testicules dans les bourses d’Alexandre qui se sent défaillir à ce traitement. — Si vous continuez, je ne vais pas pouvoir me retenir. Serrant la base de la verge, Marie-Chantal le sermonne malicieusement. — Ne m’aviez-vous pas promis de garder votre contrôle en toutes circonstances ?— Si, mais là, c’est pas du jeu, je ne peux pas résister.— Alors laissez-moi contrôler ...