1. Emeline, la coquine...


    Datte: 08/08/2020, Catégories: fh, fplusag, inconnu, fépilée, magasin, essayage, collection, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, portrait,

    Emeline est une femme d’un tout petit peu plus de quarante ans. Mais surtout, si vous la rencontrez, ne lui dites pas que je vous ai révélé son âge, car elle en serait furieuse. On a les coquetteries que l’on veut, après tout. Bref, c’est une grande femme, en ce moment plutôt blonde, enfin avec des mèches blond cendré qui viennent éclaircir des cheveux très courts. Son regard vif, d’un bleu presque azur, fait penser à la mer Méditerranée, après un bon coup de mistral. Elle promène nonchalamment un corps sculptural. Ses seins, placés hauts et fermes ont un honnête volume. Si vous les voyez de plus près, ils ont de petits mamelons d’un rose tendre soutenu et de petits tétons pointus qui, si vous n’y prenez pas garde, pourraient même vous éborgner. Son ventre est plat. Pas seulement quand elle est allongée sur le dos. Non, même debout, son ventre reste plat. Mais ne lui demandez pas comment elle l’entretient, chacun garde ses petits secrets. Ses grandes jambes sont fuselées à souhait. Les cuisses fermes, se terminent en deux globes pleins qui attirent invariablement le regard, la main, et plus si affinités. Les cuisses, qu’elle aime à vous tenir écartées devant les yeux, cachent une intimité mise en relief par un entretien méticuleux. Cet endroit est épilé de près et vous permet de découvrir deux lèvres jointes brunes, légèrement pendantes, un tantinet fripées, qui viennent enserrer le capuchon de son long clitoris qui plonge du haut de la vulve et en cache une partie. Plus ...
    ... haut encore, taillée ras, formant une sorte de pointe de flèche, la toison pubienne semble vous indiquer, lorsqu’elle est nue, où il faut porter son regard, dans le genre, « Suivez la flèche, mon bon ami ! ». De son oreille pend une longue chaînette, qui vient battre le large décolleté qu’elle affiche en permanence, hiver comme été. C’est qu’Emeline n’a pas froid aux yeux, ni au corps. Depuis que je la connais, rares sont les fois où je l’ai vue trembler de froid. Non, bien au contraire, comme on dit de temps en temps dans son quartier, « Emeline ! C’est une chaude ! ». Et les seuls moments où j’ai vu la chair de poule hérisser sa peau blanche et satinée, douce comme du velours, c’est quand elle tremble de plaisir, qu’elle se donne, toute à sa jouissance. Lorsque je l’ai rencontrée pour la première fois, j’étais en train de faire des courses avec une amie (juste une amie et pas autre chose, alors n’imaginez rien d’autre que ce qui est écrit !). Comme souvent, je me retrouvai au milieu du rayon lingerie de la Samaritaine… C’est toujours là où j’aboutis invariablement et inéluctablement quand j’accompagne mes amies ou mes copines dans leurs courses (comme si les femmes n’avaient pas d’autres lieux où entraîner les hommes qui sont en leur compagnie quand elles font les magasins). Bref, nous étions en train d’errer de rayon en rayon, elle, à la recherche de dessous chics et pas chers, moi à la traîne, contemplant, sans véritable passion, soutien-gorges et petites culottes largement ...
«1234...11»