Emeline, la coquine... - Histoires de Sexe

Emeline, la coquine...

... histoire. Cette fois, j’allais bel et bien retirer ma tête, quand une fois encore, elle s’est adressée à moi… — Attends… Et cette fois, elle s’est penchée vers son sac, en tira une carte bristol qu’elle m’a tendue. — Tiens, mon adresse… Viens me rejoindre demain soir vers dix-huit heures ! Tu peux ? J’ai lâché le rideau et déplié mes doigts pour attraper la carte. En contemplant le petit morceau de bristol blanc, j’ai marmonné : — Oui, d’accord… alors, à demain… Voilà comment j’ai rencontré Emeline, la coquine. Presque à l’heure dite, je sonnai à la porte d’Emeline, dans un quartier chic de Paris. Elle ne devait pas être très loin de la porte, ou son appartement était minuscule, car elle est venue m’ouvrir instantanément. Je me suis retrouvé devant cette belle femme, mûre, dans le corridor. — Salut, j’espère que je n’ai pas bouleversé tes plans ! m’a-t-elle dit en m’embrassant sur les joues comme un bon copain.— Non… Je n’avais rien de prévu… Au passage, je notai que la peau de ses joues était soyeuse, douce et qu’elle sentait un lourd parfum capiteux. — Je voulais te remercier pour tes conseils d’hier… Au fait c’était ta copine ou ta femme, hier avec toi ?— Heu, ni l’une ni l’autre, juste une amie que j’accompagne de temps en temps pour faire ses courses. Emeline m’a regardé un instant et m’a souri. Nous sommes entrés dans un salon, tout blanc. Les murs, le parquet, les meubles, le tapis… tout était blanc. Immaculé. Le mobilier était très contemporain. Il me semblait en ...

... décalage avec la personnalité d’Emeline, mais après tout, je ne la connaissais pas réellement. Seulement de vue… Et à cette évocation, voilà que mon sexe se mettait à se redresser dans mon pantalon. Hum ! Soyons discret et tandis qu’elle allait chercher un plateau dans la pièce à côté, discrètement, une main dans la poche, j’ai empoigné mon sexe et l’ai positionné de façon à le rendre moins visible, juste question de ne pas jouer les satyres immédiatement. De retour dans la pièce, les bras chargés d’un plateau, elle m’a invité à m’asseoir sur une sorte de pouf, en forme de poire, tandis qu’elle prenait place dans un fauteuil. Je me suis laissé tomber sur le cuir blanc et me suis enfoncé. Je descendais… descendais… Et face à moi, presque à ma hauteur, j’ai découvert… Emeline, les jambes largement écartées, nue… Crénom ! Quelle vue ! Quel choc ! Sous mes yeux, en panoramique, l’intimité imberbe de ma charmante hôtesse. Deux lèvres grasses, légèrement pendantes, un peu brunes, un peu ridées, collées l’une à l’autre. Au-dessus, je pouvais parfaitement voir le capuchon du clitoris qui venait en partie les recouvrir, sur près de la moitié… À cette vision, des picotements m’ont parcouru le corps et une décharge électrique a fait tressauter mon sexe déjà excité par la simple évocation des images de la veille… Et malgré cette vision, ses jambes largement écartées, elle faisait l’innocente et nous avons parlé de tout et de rien, durant quelques minutes… mais je dois vous avouer que je ...