Emeline, la coquine...
Datte: 08/08/2020,
Catégories:
fh,
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volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
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... l’atteindre et je l’abandonnai au profit de ses seins. Malheureusement, je n’ai pas eu le temps de les atteindre que déjà une nouvelle giclée de plaisir, m’inondait la figure, me noyait, m’étouffait. Les cuisses d’Emeline se sont refermées autour de ma tête avec un claquement mou, étouffant au passage le cri rauque qui la libérait de sa jouissance. Enfin, après quelques longues secondes qui me parurent des minutes, l’étreinte des cuisses m’a libéré et j’ai pu enfin reprendre mon souffle, essuyer mon visage trempé d’elle, me redresser et surtout tenter de soulager l’extrême tension de ma mâchoire qui venait d’être mise à rude épreuve et qui était à la limite de la tétanie. J’étais toujours à genoux devant l’intimité dégoulinante d’Emeline, elle aussi semblait marquer une pause dans sa jouissance pour reprendre son souffle. Son ventre se soulevait par petits coups et de temps en temps, j’observais que ces légers soubresauts lui envoyaient de longs spasmes dans les cuisses. La tête renversée, une main sur la poitrine, l’autre dans mes cheveux, jouant avec eux, nous avons marqué une longue pause dans mon lutinage. Tranquillement, elle a refermé ses cuisses, s’est redressée. Les deux mains sous les seins, les empaumant fermement, faisant pointer ses tétons entre ses doigts, elle s’est penchée vers moi. — C’était plus que bon… Suce-moi les bouts… La bouche ankylosée, les lèvres sèches, je les tendis vers les bouts rose tendre, durs, pointus. Sous mes lèvres, irritées, j’étais en ...
... contact avec une peau douce, aux petites ridules saillantes et ultra sensibles. J’aspirai le bout qui m’était tendu. Je le suçotai, je le mordillai, je le tétai. Sous ma langue, je l’excitai, le lapai, le maltraitai, l’irritai. Ce traitement devait convenir à Emeline car son souffle redevenait celui d’une forge, ahanant. Puis, sans crier gare, sans aller jusqu’au bout de sa jouissance, elle a retiré son mamelon de ma bouche, s’est penchée un peu plus vers moi et m’a rapidement embrassé sur les lèvres pour mieux me basculer en arrière. Maintenant, elle descendait vers moi et c’était elle qui s’occupait de moi. La tête à moitié relevée, je la contemplais dans son œuvre. Les lourds seins dodelinaient sous elle, la croupe surélevée, elle s’activait des lèvres, des mains, de la langue sur mon corps. Au fur et à mesure, elle me déshabillait, semant autour de nous mes pauvres vêtements. Avec une certaine brusquerie, elle me les arrachait plus qu’elle ne les défaisait. À peine étais-je nu qu’elle est venue me mordiller les tétons, comme si c’étaient ceux d’une femme. Sous la vivacité de ses mordillements, je les ai sentis se durcir, pointer comme les siens, quelques secondes avant. Et durant ces moments où mon plaisir augmentait, sa main se faisait caressante, baladeuse. Elle jouait avec mes poils et ses doigts entraient en contact avec mon sexe, droit, excité et prêt à exploser. Elle l’a enveloppé d’une douceur chaude et câline, en a assuré la fermeté par quelques adroits va-et-vient ...