1. La première éjaculation de Stéphanie


    Datte: 08/08/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, poilu(e)s, parking, voiture, collection, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral init,

    ... plus tôt, qu’elle mettait un peu trop de pantalons à mon goût… Il s’agissait d’une jupe bleu-marine, d’un tissu assez lâche, qui arrivait à mi-cuisses. Malheureusement, elle portait dessous des collants-mousse au rabais, vous savez, cette matière qui vous fait immédiatement penser à des jambes de mémé… Je décidai de passer outre, et me fis la remarque, intérieurement, qu’il y avait encore du chemin à faire en matière de dessous ! Une fois qu’elle fut calée dans le siège passager, je demandai à Steph’ ce qu’elle souhaitait faire lors de cette après-midi. Après avoir fait le tour des activités potentielles, elle me répondit qu’on n’avait qu’à se trouver un coin un peu plus calme, pour "passer tranquillement un moment ensemble". Je pris cela pour un encouragement. Nous décidâmes de trouver un endroit isolé, au bout d’un parking, sur le campus, qui devait être désert ce jour-là. Lors du trajet, nous sentions tous les deux que l’excitation montait énormément, et que nous étions partis pour passer une après-midi beaucoup plus intime que d’habitude : nous ne parlions pas et échangions des regards et des sourires timides. J’avais mis l’autoradio pour détendre un peu l’atmosphère. Au bout de quelques minutes, je décidai de prendre les devants et posai ma main sur la sienne, légèrement au contact de son genou. Puis je la fis remonter lentement jusqu’à atteindre le haut de sa cuisse gauche. Stéphanie frémissait, tout en continuant à caresser tendrement ma main. Je poursuivais mes ...
    ... caresses de la sorte lorsque nous arrivâmes sur le campus. Une fois garés au fond d’un parking désert, nous dégrafâmes nos ceintures de sécurité : l’excitation était à son comble. Nous plongeâmes dans les bras l’un de l’autre, et commença alors une longue suite de baisers effrénés. Nous nous embrassions à pleine bouche, comme si nous souhaitions assouvir des pulsions contenues depuis des années. Sa langue était douce et chaude, et elle imprimait une multitude de mouvements autour de la mienne. L’ambiance était terriblement passionnelle. Au bout d’une dizaine de minutes, nos baisers se firent plus épars, et nos mains plus balladeuses. Alors que ma bouche explorait la base de son cou, à la limite de l’épaule et de la nuque, ma main gauche entreprit de déboutonner sa chemise blanche, bien trop sage à mon goût. J’avais déjà caressé ses seins à travers ses habits à de nombreuses reprises, mais sans jamais pouvoir les voir, ni les toucher directement. Là, je souhaitais les découvrir plus que tout. L’idée de prolonger cette attente m’était insupportable ! Stéphanie, qui était encore toute à mes baisers, comprit d’un coup le but de ma manoeuvre : la dénuder. Comme pour me signifier son approbation, elle se décolla de mon buste pour venir se caler au fond du siège passager, afin de me faciliter la tâche. Elle me regarda la déboutonner, tout en caressant tendrement mon visage de la main gauche. Moi, j’étais complètement absorbé par sa poitrine qui se dévoilait progressivement à mon regard. ...
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