1. La première éjaculation de Stéphanie


    Datte: 08/08/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, poilu(e)s, parking, voiture, collection, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral init,

    ... Elle portait un petit soutien-gorge blanc à fleurs bleues, sage, trop sage… J’écartai d’un coup les deux pans de sa chemise, comme un sauvage, et restai en arrêt quelques secondes, à contempler le fabuleux spectacle. J’avais l’impression d’être face à une écolière qui allait offrir son corps pour la première fois. Je n’étais pas très loin de la vérité ! Comme ce que je voyais ne me suffisait pas, j’entrepris d’aller plus loin, et passai une main derrière son dos pour dégrafer le petit morceau d’étoffe si innocent. Stéphanie comprit tout de suite mon intention, et m’arrêta net : — T’as vraiment l’intention de me déshabiller ici ? demanda-t-elle, sur un ton incrédule.— Euh… Oui, pourquoi, tu ne veux pas ?— Euh, oui, mais si quelqu’un nous voit ?— C’est un coin tranquille, ici, tu sais ! Et comme nous sommes au fond du parking, si on voit quelqu’un approcher, on aura le temps de démarrer et de partir vite fait avant d’être vus !— Tu es sûr ?— Oui, ne t’inquiète pas, tu pourras toujours t’allonger sur la banquette, et on ne te verra pas ! Effectivement, nous étions à une bonne distance de l’entrée, qui se trouvait loin derrière la voiture. Elle hésita un instant, puis reprit : — Bon ok, mais surveille bien derrière, hein ! Tout en prononçant cette dernière phrase, elle se décolla de la banquette, retira elle-même sa chemise, dégrafa son soutien-gorge, et envoya valser le tout sur le siège arrière. La vision que j’avais à ce moment avait un goût de paradis : une jeune fille ...
    ... fraîche et innocente, dans ma voiture, bien décidée à s’offrir à moi ! J’exultais ! Nous reprîmes nos baisers, elle toujours bien calée dans le fond de son siège, moi la pelotant frénétiquement. Elle avait des petits seins en poire, bien fermes, bien blancs, et ses têtons tout roses étaient durcis par l’excitation et les frissons que lui procuraient mes caresses. Quelques minutes plus tard, ma bouche entama de nouveau une lente progression vers son cou, mais continua cette fois-ci sans s’arrêter, jusqu’à atteindre sa poitrine. Ma langue commença alors un long ballet autour de ses mamelons, que je léchai, mordillai, suçai à souhait. Quel bonheur ! Stéphanie avait fermé les yeux, et laissait échapper des soupirs de plus en plus profonds. Rapidement, ses soupirs se transformèrent en légers gémissements, et sa respiration s’accéléra passablement. De toute évidence, elle avait les seins très sensibles, et elle prenait beaucoup de plaisir. Ma main gauche, elle, s’était posée sur sa cuisse gauche depuis un bon moment déjà, et avait remonté progressivement ses caresses vers l’entrejambe. Au bout d’un moment, j’interrompis mes baisers pour constater que sa jupe lui arrivait au niveau de la taille, et que j’avais maintenant une parfaite vue sur sa culotte et ses hanches. C’est vrai que les collants n’avaient rien de sexy : une démarcation bien visible en haut des cuisses, un large gousset et un gros élastique au niveau de la taille gâchaient complètement le tableau. D’autant plus que la ...
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