1. La première éjaculation de Stéphanie


    Datte: 08/08/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, poilu(e)s, parking, voiture, collection, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral init,

    ... commencent à se dessiner. Je le frôlai du bout de l’index, Stéph eut un spasme accompagné d’un long soupir. Je ne sais pourquoi, à ce moment j’eus une insoutenable envie de goûter directement à ce petit organe, de le caresser avec ma langue… Sans hésitation aucune, je me penchai dans une position bien inconfortable, et commençai à laper tendrement le capuchon du clitoris, en écartant plus franchement la culotte de la main gauche. Avec du recul, je pense que Stéphanie fut surprise de mon audace, car une sorte de tension sexuelle fut légèrement perceptible dans son comportement, dans les minutes qui suivirent. Mais elle n’en fit pas état, et me caressa la nuque lentement, avec beaucoup de douceur. De la douceur, j’en appliquais également dans mes légers coups de langue, si bien que je sentis Stéph se détendre rapidement et reprendre ses longs soupirs, entrecoupés de petits gémissements. Son sexe avait une odeur très forte, une odeur de femelle qui ne trompe pas, une femme dans un état d’excitation profond. Son goût était âcre et salé, comme un bon fruit de mer bien frais. Le beau bouton bien rouge sortait progressivement de sa tanière, sa taille confirma mes soupçons. Mes coups de langue se faisaient de plus en plus appuyés, jusqu’à écraser complètement le capuchon à la base du clito, et branler buccalement ce petit bout de chair tout bandé. Stéphanie gémissait de plus en plus fort, et écartait maintenant très largement les cuisses. Sortant un moment la tête de mon ouvrage, je ...
    ... réalisai que la culotte commençait à me géner très sérieusement. J’avais franchement envie de la doigter, de partir à la découverte de sa chatte. Je la sortis temporairement de sa transe pour la faire se lever et m’aider à ôter le dernier bout de tissu. Elle s’exécuta sans aucune grâce, le plus rapidement possible pour retourner à sa jouissance, les cuisses bien ouvertes, complètement offerte. Je me penchai de nouveau pour goûter son sexe plus avant, mais je réalisai alors que mon dos commençait à me faire souffrir, vu que la position était très inconfortable. J’entrepris alors de reculer son siège, afin qu’elle puisse s’enfoncer dedans encore plus profondément. Cela me permit de reprendre mes massage buccaux, et de découvrir toute la surface de sa vulve du bout du nez : je sentais, je léchais, je suçais, j’aspirais, et finalement j’embrassais à pleine bouche cette chatte poisseuse et odorante. Son parfum m’enivrait au plus haut point, plus que n’importe quelle liqueur ! Stéph’ poussait maintenant très bruyamment de longs cris de plaisirs, d’une indécence totale. Trop heureux de pouvoir mener cette femme au septième ciel, je fus pris d’un élan amoureux qui interrompit mes pulsions sauvages, et j’eus soudain envie de l’embrasser aussi sincèrement que fougueusement. Elle répondit violemment à mes baisers, prit ma tête entre ses mains et me serra comme une folle, m’embrassant à pleine bouche, me léchant le visage, ignorant même qu’il était souillé de ses sécrétions de femme en ...
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