1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (49) : Olga et les routiers (1 : la cerise sur le gâteau).


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Ces vacances 2014 furent, pour Philippe et moi, celles de nos retrouvailles candaulistes. Sans les enfants, loin de chez nous, nous avions donné libre cours à mon hypersexualité et, lui, à son candaulisme. Toutes les bonnes choses ayant une fin, nous savions que notre retour signifiait, pour une période de plusieurs semaines au moins, une nécessaire sagesse. Nous étions conscients qu’il fallait nous contraindre ainsi mais nous étions déjà nostalgiques de la période intense que nous venions de vivre. Le voyage-retour allait nous offrir une ultime occasion de plaisir. PHILIPPE ME PREPARE Nous étions sur la route. J’avais choisi de porter une robe à boutons, courte, ouverte devant, et, bien entendu, rien en dessous. Ayant passé l’essentiel de nos vacances sur une plage naturiste, mon corps était ambré. • Philippe, mon amour, merci pour ces trois semaines. C’était exceptionnel ! Merci surtout pour la liberté que tu m’accordes et le plaisir que tu m’offres ! Tu es merveilleux ! • Je fais ça parce que je veux que tu sois heureuse, parce que je t’aime. Tu sais aussi, ma chérie combien j’aime ça ! Tu es si belle quand tu prends ton pied. Quand il ne changeait pas les vitesses, Philippe avait sa main sur ma cuisse. Il fait encore jour. Nous sommes sur l’autoroute. • Chérie, déboutonne cette robe ! • Tu es fou, ceux que tu croises ou que tu doubles vont voir mes seins, ma chatte ! • C’est ce que je veux, que tu fasses bander les hommes ! • Vicieux, en attendant sois prudent avec ta ...
    ... main, surveille la route ! • Incline ton siège légèrement, chérie. Philippe écarte les pans de ma robe, me caresse un peu, me chauffe, je m’écarte pour bien en profiter, Quand on double un camion le chauffeur peut voir. Certains klaxonnent. Je suis en situation d’exhibition parfaite. Sans pudeur, je me caresse la chatte, déjà tout humide. Maintenant, il fait nuit, le ciel est ultra clair. • A poil, ma chérie, enlève tout ! Je lui obéis, je comprends qu’il veut m’offrir une ultime séance de plaisir, avant probablement plusieurs semaines de « disette ». D’ailleurs notre « pacte candauliste » est parfaitement clair sur le fait que je dois être une épouse soumise aux volontés de mon mari. Le « Principe n°7 » ne dit-il pas : « Philippe est le mari et le mâle d’Olga. Son objectif est que celle-ci puisse avoir le maximum de plaisir. Il est donc l’organisateur des plaisirs d’Olga, il dispose de son corps et veille à trouver des amants qui la satisferont ». J’aime son regard quand il m’offre à un autre homme : un regard à la fois fier et plein de vice. J’aime qu’il me mange du regard, qu’il m’observe en train de sucer un autre homme ou que je me fasse prendre comme une vulgaire chienne. Cela m’excite de le sentir tendu par le plaisir de me voir dans des positions obscènes, gémissant comme une femelle en chaleur. Je suis impressionnée par ses yeux fiévreux qui captent chaque frisson de mon corps, qui observent chaque mouvement de mon bassin, chaque caresse que me prodiguent ces hommes à ...
«1234»