1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (49) : Olga et les routiers (1 : la cerise sur le gâteau).


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... les larmes coulant sur mon visage tellement la jouissance était insoutenable pour ma tête et mon corps. Cuisses grandes ouvertes, pieds sur le tableau de bord, je tente de reprendre mes esprits. • C’était absolument merveilleux, mon amour ! Mais dis-donc, coquin, c’est ça que tu appelles me « chauffer un peu » ? Tu veux me faire mourir ? • Oui, mais de plaisir. Et la soirée ne fait que commencer. Tu es d’accord de sortir toute nue dehors sur un parking ? Philippe sait bien que j’adore être le centre d’intérêt de queues dressées rien que pour moi. Je comprends ce qu’il veut. Je fais signe que oui. Il redémarre et s’arrête peu après sur une grande aire de repos et se dirige vers le parking Poids lourds. Il stationne entre deux 38 tonnes. OFFERTE Philippe coupe le moteur, les lumières. Il me pousse à sortir, nue. J’ouvre la porte, je sors entièrement nue. Il fait très chaud encore. Philippe allume ses lanternes, il m’éclaire ! Il m’exhibe, il m’offre. Nous n’allons pas tarder à mesurer les effets. Un type petit mais imposant, large, descend du camion d’à côté. Il hésite, étonné. • Ça va Madame ? • Oui, bien et vous ? Il est Portugais. • Française ? • Oui. Enfin, mariée à un Français. • Tu veux baiser ?? Combien tu prends ?? • Je ne demande rien. Ça vous plairait de mieux voir? Il s’approche. Philippe sort de la voiture et vient derrière moi. Le type recule. • Bonsoir. Ne t’inquiète pas. Je te présente Olga, ma femme. Ce soir je l’offre, je la mets à disposition. Elle en veut. ...
    ... Elle est très cochonne, chaude, gentille et docile. On peut tout lui faire. Tu as des copains ? Va les chercher ! Le type ne se fait pas prier, frappe aux deux camions voisins. Au total, ils sont quatre. Il dégage d’eux un sentiment de virilité. Je suis à nouveau excitée. Je sens la pointe de mes seins se durcir, ma chatte s’humidifier. Je sais ce qui m’attend : je vais me faire baiser comme une putain par ces inconnus, en présence de mon mari. J’en ai particulièrement envie. Je veux profiter à fond de cette dernière soirée voulue par Philippe. Son ultime cadeau, la cerise sur le gâteau de cet été candauliste. Philippe derrière moi, me lève les bras en arrière, mains sur la nuque, écarte mes jambes en grand. Il caresse mes seins, branle ma chatte devant eux. Je ferme les yeux, consentante, heureuse du plaisir que je vais connaitre, une fois de plus à cause de mon mari. • Elle est belle, n’est-ce pas ? C’est à vous de jouer, je vous la confie ! Elle va d’abord vous montrer comme elle est excitée. J’ai recommencé à me caresser. À ma respiration saccadée, j’ai senti que j’allais partir. Nos amis routiers étaient fascinés par mes chants. • Oui, je suis à vous, le temps que vous voulez et vous pouvez tout me faire Philippe m’amène doucement au premier, me donne carrément et se recule. L’homme palpe mes seins, suce les bouts, descend sa main sur ma chatte, la prend à pleine main, enfonce tous ses doigts, fouille… Je laisse faire. Philippe me pousse encore un peu plus vers lui…Un ...