1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (5)


    Datte: 09/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... attend encore la réponse du couple. Tien, c’est vrai ça, on a plus de nouvel de Martine et son mari ! Et puis, zut, j’installe à mes risques, ma sœur et mon beau-frère dans cette maison. C’est là que je découvre la raison du départ, il y a une chambre d’enfant, non, pas un bébé, un gosse quoi. C’est le ruban noir sur la photo qui change la donne. On fait alors marche arrière. À nous cinq, nous écrivons une longue lettre au couple. Si on les supplie de revenir, on se dit réellement désolé pour leur enfant. Les jours filent, cette fois, c’est une autre maladroite que je dois flageller, Gisèle avec une petite porcelaine. C’est sur la plage, mon joujou dans son cul que j’en fais une véritable esclave. Il y a un vieux tronc déraciné, je le lui enchaine à son pied, j’y prends place et l’oblige à le tirer loin du bord de mer sous les sifflements et claquement de mon fouet. Son boulet de bois fait son petit poids. Le fouet commence à marquer sa croupe d’un joli rouge sur sa peau brune. Parfois, je descends, me pose devant elle, à quelques mètres, ma bite tendue comme une carotte devant ses yeux. Elle donne tout ce qu’elle pour parvenir à sa récompense. Oui, elle se donne et le tronc la suit, marquant de son empreinte le sable. Près de moi, à plat ventre, elle peut déjà baiser mes pieds, ce qui est déjà une petite récompense. Mais avant de pouvoir me sucer, elle doit faire jouir Sidonie. Gare à ses fesses si elle n’y parvient pas. C’est la première fois que je la punis autant et ...
    ... elle ne déteste pas. Je ne tiens plus en place, enchainée, je l’entraine dans notre cave, en fait de cave, c’est cette petite bâtisse en dur près de la maison, elle est encore toute neuve et pas terminée. Mais on a déjà de quoi jouer. Au centre, trône une colonne de pierre de taille, elle est tout sauf lisse. Rugueuse à souhait, j’y attache Gisèle, dos contre la colonne. Une corde retient ses mains de chaque côté, comme ses pieds. Je veux châtier ses seins. Ils m’attirent comme des aimants. Sidonie est là, impatiente comme moi, trop heureuse que je me remette à l’ouvrage. Lentement, je commence mes petites tortures sur ce visage aveuglé, cette bouche muselée. À son pouce, j’y mets un ficelle, la dite ficelle est reliée à une petite clochette, elle tire sèchement, la clochette sonne, tout s’arrête. Je commence par ses seins. Nue, Sidonie se place sur la face opposée de la colonne. WAOW, comme au bon vieux temps. Alors, je commence par une bonne série de gifle sur ces poitrines. Un baiser de temps en temps, une caresse en guise de baiser. Cravache à la main, c’est leur sexe que je tapote tel un métronome. Arrive les pinces, je forme de belle corole de fleur sur ces seins. Rien que cinq par mamelon, la dernière bien sur l’extrémité du téton. Sidonie est aux anges, Gisèle, pour le savoir, je retire son bâillon. « T’en veux encore ma petite chienne ? » le ton de ma voix est plus doux qu’autoritaire. « Tant que Vous le désirez, ça me plait ! » Voilà qui m’encourage parce que je suis ...
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