1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (5)


    Datte: 09/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... loin de tout avoir épuisé. D’une cravache, je frappe chacune des pinces, les envoyant valser dans la pièce. Derrière moi, un couple est là, nous observe. Une femme est à genou, sous le joug de son mari et je ne les vois pas, trop concentrer à donner du bonheur à mes femmes. Je ne vois pas ma sœur sucer Paul, son mari, menottée, le cul bien rougit par mon pote et beau-frère. Je continue, enserrant chaque néné d’une corde que je serre. Je n’ose encore les aiguille sur Gisèle, pas sur Sidonie, qui, si c’est bien fait, la fera jouir à coup sûr. Je susurre à Gisèle que je vais piquer ses seins, les garnir d’aiguilles. Sa tête me fait oui. La première pénètre lentement, elle serre les dents. Je l’embrasse, nous nous embrassons quand la seconde pénètre dans son autre sein bien bombé par la corde qui l’enserre. Je sens cette larme couler, mais son sourire est comme un défi qu’elle me lance. Parfois, comme à mon habitude, je m’inquiète, sa tête me fait oui. Je continue, quinzième aiguille, un râle sort longuement de sa bouche quand ma main caresse son sexe tout baveux. C’est là que je remarque Isabelle. Un regard à Paul, il acquiesce. Isabelle vient lécher le minou chauve de Gisèle pendant que je joue avec ma bougie sur sa poitrine. Quand elle jouit encore, c’est plus que merveilleux. Je masse ses seins, Isabelle lui darde son minou de sa langue. Gisèle est sur une autre planète. Peu à peu, je baisse en puissance, ne cherchant plus que son plaisir, celui de Sidonie. Mes tortures ...
    ... deviennent plus sexuelles que douloureuses. J’invite Paul à se joindre à moi, de s’occuper de Sidonie pendant que je termine mon travail au corps sur Gisèle. Je ne me lasse jamais de voir une personne jouir, femme, homme, qu’importe, avoir un orgasme, c’est comme un rire qui se déclenche, il nous entraine. Une journée sans orgasme, c’est comme ne pas rire, ne pas entendre de musique, c’est une journée qui ne vaut pas être vécue. Là, Gisèle ne cesse de jouir et Sidonie qui tripotée par Paul est emportée par des ondes de plaisir, c’est juste dire que ma journée fut merveilleusement remplie. Enfin libérée, Gisèle, vaincue par la multitude des orgasmes vécus, s’effondre sur le sol, tout sourire, un visage qui reflète sa béatitude. Je l’emporte dans notre chambre, une chambre sans lit, une chambre avec des matelas uniquement. Je la couche, Isabelle est avec nous. « Ma belle négresse, ma délicieuse soumise, on va encore te faire souffrir. Il ne fallait pas ma casser ma petite porcelaine. » « Je veux bien en casser chaque jour si c’est pour vous subir. » Peu après, Sidonie et Paul nous rejoigne pour une nuit longue, remplie de râles orgasmiques. Dans la matinée, je m’étire longuement, Gisèle dort encore, roulée en boule, je peux voir sa croupe porter encore les marques du fouet. J’embrasse ses fesses, la recouvre, la laissant dormir. En bas, Sidonie et Isabelle m’ont préparé un bon déjeuner. Près de moi, un petit bout de chou me fixe, hilare en me voyant lui faire des grimaces. C’est ...
«12...5678»