1. Hélène 1 : la rencontre


    Datte: 09/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... de langue rappeuse sur mon clitoris décalotté. S’en est trop. Je lâche prise dans un orgasme éblouissant. Je reviens à moi, toute alanguie, la tête sur la poitrine de Pierre. Je me redresse sur un coude, je l’embrasse, et sa langue m’envahit. Nous échangeons un ardent baiser. Je glisse légèrement le long de son corps, et j’empoigne son vit, toujours dressé. Je donne un rapide coup de langue sur le gland, et je recueille le liquide suintant de son méat. - Humm…. Vous avez bon gout-. - Vous aussi, votre chatte est délicieuse. C’était la première fois que j’entends ce qualificatif pour mon sexe. - Vous n’avez rien eu. Je vais m’occuper de vous. Répondis-je, en l’embouchant. - Attendez, je préfère un plaisir partagé. Laissez-moi un instant, je vais vous protéger. Son préservatif enfilé, Il s’allonge sur moi. Son membre s’introduit dans ma grotte ; il commence à aller et venir doucement. Les vagues de chaleurs remontent de mon vagin. J’approche son visage du mien et je l’embrasse goulument Nos langues se nouent et se dénouent convulsivement. Le tempo s’accélère, Je lâche sa tête et je plante mes ongles dans son dos. Encore quelques allers et retour, il se raidit Et soudainement, son et lumière, puis plus rien : la petite mort ! La sonnerie du réveil me tire de mon sommeil, je m’étire comme une chatte repue. Je tends le bras vers le côté gauche du lit. Personne. Sur le plan de travail de la cuisine, un papier avec ces simples mots « merci pour cette excellente soirée. » Les larmes ...
    ... me montent aux yeux : ainsi je ne suis qu’une passade d’un soir, un coup vite fait. Une semaine passe, sans nouvelle, triste comme un ciel de novembre. Je me fais avec tristesse à l’idée que ce court moment hors du temps ne se renouvellera plus. Arrive un deuxième vendredi sans signe de vie. Je suis dans l’arrière-boutique, pour ranger ma commande quand la sonnerie de l’entrée du magasin retentit. - Attendez une minute, j’arrive. - J’attendrai l’éternité s’il le faut. Je laisse tomber ma boite et je cours dans la boutique. Il est là, je manque de lui sauter au cou, mais je me bloque et je lui tends la main. - Hélène, nous pouvons quand même nous faire la bise. Je m’approche de lui et au moment de poser mes lèvres sur sa joue, mon corps m’échappe, je me colle à lui, le souffle court. Mes formes se moulent sur lui. Mes lèvres glissent de sa joue à sa bouche. Ma langue force ses lèvres, et se noue à la sienne. Il m’enlace aussi, sa main droite glisse doucement et s’arrête sur mon cul. Elle y resta une seconde, puis remonte. - Monsieur, laissez cette main où elle était ! Lui murmuré-je. Et pour être sure d’être bien comprise, j’ajoute. - Remettez cette main sur mes fesses, elles adorent ça. Deux anges passent. Puis nos corps se désunissent. Il pose son regard dans mes yeux. - Puis-je vous inviter à diner samedi soir, après la fermeture. - Oh ! Oui, bien sûr ? - Je passe vous prendre à votre appartement. Resto chinois ou traditionnel. - Italien, s’il vous plait. - Ca marche. Une ...
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