1. Ma vie de libertin - Amours de jeunesse - 2ème partie.


    Datte: 10/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Une baise toute simple. Après ma première fois avec Caroline, le même été, j’ai croisé chez des cousins chez qui elle passait quelques semaines, une jeune italienne d’une vingtaine d’années. Elle était de passage dans la région où elle était venue rendre visite à des oncles et tantes émigrés de leur lointaine Sicile au début des années 50. Ce jour là je l’ai rencontrée quand elle faisait les magasins dans la petite ville où je passais mes vacances en attendant de partir à l’Armée. Elle cherchait un souvenir particulier à rapporter chez elle. Je lui ai offert de la guider vers un magasin où elle trouverait certainement ce qu’elle voulait. L’un et l’autre, nous avons déambulé dans les rues tout en bavardant comme peuvent le faire deux jeunes gens d’une vingtaine d’années. Grande et aux courbes généreuses, Francesca avait une poitrine rebondie que son chemisier léger et son soutif avaient bien du mal à maintenir. Son pantalon de toile claire laissait deviner des hanches larges s’évasant sous une taille assez fine et on distinguait le dessin de sa culotte en transparence. Bref c’était une très belle femme même si avec ses formes généreuses, elle ne répondaient pas aux canons de la mode de l’époque. Ses achats terminés, je lui offris de passer prendre un pot dans la maison de mes parents où j’étais seul pour une quinzaine de jours. C’était situé non loin du centre ville et je la reconduirais plus tard chez sa tante. Elle accepta d’emblée et m’accompagna : je n’avais aucune idée ...
    ... particulière à ce moment-là. Nous bûmes chacun un verre d’eau minérale avec une rondelle de citron pour nous rafraîchir tout en évoquant ses retrouvailles familiales. Il faisait chaud, la présence de cette belle jeune femme près de moi, notre bavardage amical faisaient que je me sentais bien en sa compagnie. Je le lui dis. Elle appréciait aussi ma gentillesse et ma courtoisie. Elle me demanda à aller aux toilettes. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle en revint son chemisier largement ouvert et ses seins pris dans un soutien gorge de dentelle blanche laissant voir des tétons bistre aux larges aréoles. Waouh quelle poitrine ! Ces deux seins généreux que j’imaginais et sur lesquels je fantasmais depuis que j’avais vue Francesca pour la première fois. J’aurais du mal à en contenir un à deux mains ! Elle me dit qu’il faisait vraiment trop chaud et qu’elle supportait mal la chaleur lourde et orageuse qui régnait en cette fin d’après midi du mois d’août. Au lieu de se rasseoir dans le fauteuil, elle vint se mettre sur le divan à côté de moi. Je sentais son odeur un peu poivrée. Tout cela acheva de me mettre dans un état pas possible. Je bandais comme un taureau et pour le dissimuler, je m’agitais à côté d’elle. Elle était la seconde femme à m’approcher ainsi et elle ne me laissait vraiment pas indifférent. Soudain, en se tournant un peu plus vers moi et en posant sa main gauche sur ma cuisse, Francesca me tendit ses lèvres. J’accueillis son baiser avec bonheur et je le lui ...
«123»